psychothérapie, Hypnothérapie, sophrologie, méditation, techniques de libération émotionnelle, Colmar, strasbourg

Philippe Coat, psychothérapie intégrative
/ Natalia Coat, développement personnel

Pourquoi la situation sanitaire et le confinement en particulier accroissent-ils le risque de dépression et d’angoisse ? Parce que des mécanismes psychologiques de défense cèdent sous l’effet de l’inactivité, des relations avec des proches sont éclairées sous un nouveau jour en raison de la promiscuité qui nous est imposée et enfin parce que des questions existentielles s’invitent soudainement dans nos vies.

Des peurs souterraines qui émergent

Le confinement fait voler en éclats certains mécanismes psychologiques de défense qui, en temps normal, me permettent de faire face à mes démons. L’hyperactivité, par exemple, constitue une stratégie d’évitement assez commune : en saturant mon cerveau d’activité mentale et/ou mon corps d’activité physique, je cherche inconsciemment à me tenir à distance de mon monde intérieur : j’interdis à ces émotions, sensations ou pensées qui me font si peur (liées à des événements traumatiques, des relations douloureuses dans l’enfance avec un parent dysfonctionnel…) de parvenir à la surface. Avec le confinement, cette stratégie n’étant plus disponible, ce matériel psychique peut émerger à nouveau et susciter une grande angoisse. Cette angoisse peut être d’autant plus grande qu’elle est souvent incompréhensible : dans de nombreux cas, la personne concernée ne discerne aucun événement récent qui aurait pu déclencher son trouble.

Des relations éclairées sous un nouveau jour

Peut-être ce confinement va-t-il me révéler que la relation avec mon conjoint n’est pas ce qu’elle semblait être : les tête-à-tête dans ce silence gêné peuvent révéler que nous ne vibrons plus ensemble, que nous ne sommes plus émotionnellement synchronisés. Le temps maintenant disponible pour la discussion peut aussi être l’occasion de découvrir que nos divergences de vues sont profondes sur la politique, l’éducation, les relations humaines, la place de la spiritualité… Sujets autour desquels les débats étaient encore incongrus à l’époque où la passion amoureuse dominait notre relation. Après la découverte de ces désaccords, aura-t-on encore le désir de poursuivre notre vie commune ?

La résurgence de questions identitaires et existentielles

L’ inactivité et éventuellement l’isolement, m’invitent – parfois malgré moi – à faire le point sur ma situation actuelle, situation à laquelle je ne prêtais guère attention sous l’effet de la routine. Ai-je progressé dans ma relation avec mes enfants au cours de ces dernières années ? Suis-je parvenu à réaliser ces projets qui me tenaient tant à coeur ? Suis-je aujourd’hui un être humain plus accompli qu’hier ? Et le diagnostic que je vais tirer de ma vie en cette période propice au recul n’est pas nécessairement en phase avec mes aspirations profondes ! Alors la dépression peu s’installer sous l’effet d’un bilan qui me parait décevant.

Cette mise en jachère forcée est aussi propice à un questionnement sur l’avenir du monde. Et cet exercice de prospective peut se solder par une dystopie effrayante : les virus vont-ils devenir plus fréquents dans les années à venir ? Dans cette crise économique majeure qui s’annonce, aurais-je encore un travail demain ? Mes enfants ont-ils un avenir alors que les effets du réchauffement climatique se font tous les jours plus concrets ?… Amenée par ces questions, c’est l’angoisse de mort qui peut s’intensifier et faire le lit d’une dépression.

Comment traiter cette dépression ?

Le traitement des dépressions amenées par la situation sanitaire ne présente pas de spécificités. La COVID et ses conséquences constituent un déclencheur, pas la source de cette dépression. Tenter de faire disparaître les symptômes (angoisse, insomnie, perte d’appétit…) par de la relaxation, de la sophrologie ou encore de la méditation de pleine conscience peut produire quelques effets superficiels et à court terme. Mais sans une action à la source, la dépression ne cédera pas et même si elle s’atténue avec une situation sanitaire qui revient à la normale, elle resurgira probablement dès qu’un événement ou un environnement anxiogène se fera jour à nouveau.

Cette dépression est donc aussi une opportunité : elle met en évidence que des mécanismes inconscients m’emprisonnent, que de vieilles douleurs ne se sont pas cicatrisées. Par une thérapie intégrative, combinant plusieurs approches thérapeutiques, on va agir à la source de cette dépression et produire cette fois des résultats profonds et durables :

  • traiter les traumas du passé,
  • défaire les automatismes neuro-biologiques,
  • transformer les croyances limitantes qui fragilisent ma santé,
  • installer de nouvelles qualités positives,
  • renforcer ma résilience, ma capacité à faire face à de nouveaux événements difficiles,
  • entretenir, par des pratiques régulières, l’équilibre émotionnel et la santé retrouvée.

Des questions ? N’hésitez pas à nous appeler au  07 81 82 54 59

CABINET COAT / Psychothérapies brèves, Hypnose, Développement personnel 

  • Strasbourg : 2 rue de la Brigade Alsace-Lorraine – 67000 Strasbourg
  • Colmar : 29 rue de la corneille, 68000 Colmar.

Philippe et Natalia Coat

  • Thérapie Intégrative Avancée (A.I.T.),
  • Psychothérapie énergétique et cognitive,
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