Une équipe française a montré en 1998 que la transe hypnotique est un état physiologique spécifique. Les images prises par tomographie par émission de positron (TEP) montrent de nettes différences d’activité au sein d’au moins quatre zones du cerveau par rapport à l’état de veille ordinaire, celui de rêverie éveillée ou même de visualisation. Les zones cérébrales activées sont principalement situées dans l’hémisphère gauche, ce qui correspond à un processus de reconstruction d’images mentales.
L’état modifié de conscience dont nous faisons l’expérience lors d’une séance d’hypnothérapie nous permet d’accéder aux ressources de notre inconscient . Notre cerveau va dès lors pouvoir modifier des automatismes incontrôlables consciemment et notre corps sera en mesure de mobiliser ses potentialités de changement et de guérison.
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