Philippe Coat, psychothérapie intégrative / Natalia Coat, développement personnel
Le docteur Bruce Lipton, l’un des pères de l’épigénétique, a été le premier à comprendre qu’une grande partie de notre activité génétique est affectée par des facteurs extérieurs à la cellule. Un exemple parmi d’autres : l’influence de nos émotions sur la cicatrisation. Des chercheurs (3) ont étudié l’effet qu’a le stress associé à des conflits conjugaux sur la cicatrisation des plaies, qui est un marqueur significatif d’activation génétique. A l’aide d’un dispositif de succion, les expérimentateurs ont provoqué de petites ampoules sur la peau de cobayes mariés, après quoi on a demandé à chaque couple d’avoir une discussion neutre d’une demi-heure. Pendant les trois semaines suivantes, les chercheurs ont suivi la production de trois protéines que le corps fabrique en association avec la cicatrisation des plaies. Ils ont ensuite demandé aux mêmes couples de discuter d’un sujet sur lequel ils étaient en désaccord.
Un état émotionnel négatif ralentit la cicatrisation de 40 %
Les chercheurs ont découvert que l’expression des protéines liées à la cicatrisation était déprimée chez les couples qui s’étaient disputés. Même les couples qui avaient eu un simple dialogue autour d’une différence d’opinions, plutôt qu’une franche dispute verbale, montraient de plus lentes cicatrisation de leurs plaies. Mais dans les couples qui avaient eu de sévères désaccords, avec dénigrements, sarcasmes et critiques, la cicatrisation étaient ralentie d’environ 40 %. « Il s’agit de blessures mineures et d’interactions limitées dans le temps. Les conflits conjugaux de la vie réelle ont probablement un impact plus puissant », ajoute Janice Kiecolt-Glaser.
Lorsque vous avez une telle lésion sur la peau et que votre corps a besoin de la réparer, un signal est envoyé aux gènes associés à la cicatrisation. Ces gènes s’expriment en incitant les cellules souches à se transformer en cellules de peau saines et fonctionnelles. Quand il y a interférence avec ce signal, ce qui ici provient des états émotionnels des sujets en colère, les cellules souches ne reçoivent plus clairement le message car l’énergie du corps est occupée à construire des produits biochimiques de réponse à la menace (subjective) déclenchée par la colère. La cicatrisation est compromise.
Anxiété = vieillissement prématuré
Cet exemple laisse imaginer ce qui se passe lorsque nous sommes assaillis de façon régulière par des pensées stressantes. Selon Dawson Church, PhD (2), « La circulation de ces hormones de stress (ndlr : adrénaline, noradrénaline et cortisol) va compromettre votre système immunitaire, affaiblir vos organes et vous faire vieillir prématurément. Vous êtes en train d’activer des gènes qui fonctionnaient parfaitement bien pour l’homme des cavernes (ndlr : c’est-à-dire un processus visant à assurer la survie en maximisant à court terme les performances physiques et mentales pour faire face à un danger), mais qui sont contre-productifs pour l’homme moderne ».
Pour le Dr Herbert Benson (4), « Les pensées stressantes qui conduisent à la sécrétion de la noradrénaline liée au stress entravent nos capacités de guérison naturelles issues de l’évolution. Ces pensées ne sont souvent que dans nos esprits, et non pas une réalité. »
Le neuro-endocrinologue Bruce McEwen, PhD (5), précise « qu’un tel stress use le cerveau, conduisant à l’atrophie cellulaire et à la perte de la mémoire. Il élève également la pression artérielle et le sucre dans le sang (glycémie), qui durcissent les artères et mènent à des maladies cardiaques ».
Sous l’effet du stress, une élévation chronique du taux de cortisol contribue aux affections suivantes :
Tension artérielle élevée
Réduction de la capacité de mémoire et d’apprentissage
Hyperglycémie
Maladies cardiaques
Diminution de la réparation cellulaire
Accélération du vieillissement
Ralentissement de la cicatrisation
Réduction de la réparation osseuse
Diminution des cellules immunitaires en circulation
Diminution des anticorps immunitaires
Mort des cellules cérébrales
Réduction de la masse musculaire
Diminution de la réparation des cellules cutanées
Augmentation de dépôt de graisse autour de la taille et des hanches
Ostéoporose.
Source : Dawson Church, PhD
Comment installer un état d’esprit favorable à ma santé ?
Dawson Church, PhD
Nous sommes donc en bonne partie responsable de notre santé. Dawson Church, PhD (2), avance que « En nous déstressant par le biais de nos attitudes, croyances, hygiène de vie, autosuggestions et spiritualité, nous prenons pleinement part au choix des instruments qui prédomine dans notre symphonie génétique. Lorsque vous comprenez qu’à chaque émotion et pensée, à chaque instant, vous procédez à l’ingénierie épigénétique de vos propres cellules, vous avez soudain sur votre état de santé et de bonheur une capacité d’action qui peut faire toute la différente.»
Très bien : notre santé dépend de nos pensées. Alors concrètement, comment installer en nous un état d’esprit qui va agir favorablement sur notre métabolisme et l’expression de nos gènes pour optimiser notre santé et notre bien être ? Différentes pratiques mobilisant corps et esprit, issues de la thérapie intégrative avancée (AIT), de l’hypnose, des techniques de libération émotionnelle ou encore de la sophrologie permettent d‘agir efficacement. Il s’agira d’une part, de nous libérer de nos entraves (traumatismes, croyances limitantes, automatismes neuro-biologiques ) et d’autre part, d’installer un bon équilibre émotionnel – et de le maintenir dans le temps ! – par une pratique régulière.
Quelle stratégie thérapeutique peut-on adopter ?
Bien entendu, il n’y a pas de parcours type. Tout dépend de votre « carte du monde », parcours de vie, besoins du moment… Voici néanmoins les quelques thématiques sur lesquelles il faudra s’interroger et, le cas échéant agir, pour composer un programme santé adapté tel que le pratique le Cabinet Coat, cabinet de thérapies brèves & développement personnel.
1. Créer en moi une base de sécurité
Dans un premier temps, il conviendra que je développe en moi les ressources nécessaires pour aborder le quotidien avec lucidité et créativité : calme, détente, sécurité, estime de soi. Sans ces ressources primaires, je ne peux pas changer, me projeter dans l’avenir. Dans la peur, impossible d’explorer.
2. Me libérer de mes entraves
S’il y a lieu, il conviendra de me libérer des traumatismes ou conditionnements affectifs qui entretiennent en moi des pensées et émotions qui vont altérer ma santé. Peut être aussi, affaiblir les automatismes de pensée qui me limitent : croyances irrationnelles, distortions cognitives, schémas dysfonctionnels… Des habitudes de penser, d’agir ou de ressentir qui sont figées s’accommodent mal du mouvement permanent qui caractérise la vie qui s’exprime en moi et autour de moi.
3. Renforcer par la répétition les réseaux neuronaux qui sous-tendent les états désirés
Intervenir de façon systématique sur les situations où se manifestent nos états de conscience et/ou comportement problématiques afin de défaire les automatismes neuro-biologiques qui les sous-tendent. Ces automatismes résultent parfois de plusieurs décennies d’apprentissage négatif. Une action répétée – et ce, au moment même où se manifeste l’état problématique – viendra défaire les réseaux neuronaux correspondant et renforcer ceux qui supportent l’état désiré. Cette stimulation répétée est indispensable pour que se maintiennent les nouvelles connexions synaptiques. Dans le cas contraire, après 3 semaines, il ne reste plus rien de l’apprentissage qui avait été effectué (cf. Erik Kandel, prix Nobel de médecine en 2000).
4. Renforcer la conscience de mon identité originelle
Parfois, dans une recherche de sécurité, d’appartenance à une famille symbolique, j’ai adopté inconsciemment une conception de la vie, des valeurs et des comportements qui ne m’appartiennentpas : ce sont peut être ceux de ma mère avec laquelle j’entretiens une relation “fusionnelle”, de mon conjoint, de mon univers professionnel…. Tôt ou tard, je vais ressentir un mal être car je ne suis pas “comme” tel ou tel. Je suis né avec ma singularité, mon originalité. Je ne suis identique à aucun autre être vivant dans l’univers! Une petite voix au fond de moi va finir par me susurrer “tout ça, ce n’est pas toi, tu aspires à autre chose”. Lorsque je ressentirai ce qui fait ma singularité et que je l’accepterai, mes façons d’agir, de penser et de ressentir vont se mettre en consonance avec mes désirs profonds. Je me sentirai alors apaisé, mieux intégré dans l’existence.
5. Mieux ressentir mes désirs authentiques
Une bonne conscience du corps est indispensable. Car mes impressions sensorielles sont nécessaires pour que naisse l’émotion. Et cette émotion précède le désir. Autrement dit, si je ne ressens pas grand chose dans mon corps, j’aurais du mal à prendre conscience de mes vrais désirs. Alors je risque de vivre en référence à des impératifs moraux, aux exigences de la société, à une analyse rationnelle de la situation… Mais pas à mes désirs. En étant bien connecté à mes ressentis, je me dote de cette boussole interne qui va m’indiquer dans quelle direction il est souhaitable que j’oriente ma vie. Quand j’irai dans la bonne direction, ce n’est pas tant mon mental que mon corps qui va me le faire savoir. Je “me sentirai bien”, voilà tout. Mais encore faut-il que “je me sente” ! Ce qui ne va pas de soi car les difficultés de la vie et notamment les traumatismes on tendance à produire une dissociation corps/esprit. Si le corps a fait mal un jour (accident, abus sexuel….) , ou que j’ai crains qu’il fasse mal sous l’effet d’une menace, je me suis peut être mis inconsciemment à distance de ce corps. Si tel est le cas, mes sensations/émotions se sont alors partiellement éteintes et il m’est donc plus difficile de ressentir mes vrais désirs et de développer la volonté nécessaire pour traduire ces désirs dans l’action.
6. Développer mes compétences relationnelles
Lorsque la détente et la sécurité sont là, que je suis libéré de mes entraves et que je m’accepte tel que je suis, que je ressens mes vrais désirs, je peux dorénavant m’ouvrir davantage à l’autre et m’enrichir à son contact. Différentes pratiques peuvent alors favoriser ma capacité d’écoute et l’expression de mes émotions, bases de l’intimité et d’une relation interpersonnelle authentique.
7. Rester dans une dynamique d’évolution constante
Maintenir un bon équilibre physique et émotionnel suppose une pratique régulière. Avec la routine énergétique, 5 minutes matin et soir suffisent.
Une fois qu’un bon équilibre émotionnel a été installé, il faut maintenir ma capacité d’ouverture et d’apprentissage, ma tolérance à l’incertitude inhérente à la vie, ma souplesse. Pour cela, une me faut une pratique régulière pour maintenir l’unité esprit/corps (conscient/inconscient) . Car même le pianiste virtuose perd son niveau s’il abandonne son entrainement. Des pratiques issues de la médecine énergétique (cf. la vidéo “Routine énergétique” sur le présent site) ou de la sophrologie permettent :
d’une part, de mobiliser le corps pour favoriser la circulation de l’énergie et apaiser les structures (amygdale) et mécanismes qui sous-tendent l’anxiété,
de renforcer la présence du corps dans la conscience : rester à l’écoute de mes sensations et de mes émotions, maintenir une bonne unité entre la conscience cognitive et la conscience somatique. Autrement dit, il s’agit de rester constamment en contact avec ce qui fait ma singularité pour, jour après jour, canaliser mon énergie dans le sens qui correspond à mes aspirations profondes.
(1) L’épigénétique est la science qui étudie les sources qui contrôlent l’expression des gènes depuis l’extérieur de l’ADN. Il s’agit d’une étude des signaux qui allument et éteignent les gènes. Certains de ces signaux sont des produits chimiques, d’autres sont électromagnétiques. Certains viennent de l’environnement interne du corps, tandis que d’autres sont la réponse de notre corps à des signaux provenant del’environnement qui entourent notre corps.(2)Dawson Church, Ph.D., est chercheur en médecine énergétique. Il a fondé le Soul Médecine Institute. In Le génie dans vos gènes.(3) Ronald Glaser, faculté de médecine de l’université d’Etat d’Ohio et Janice Kiecolt-Glaser, psychologue.(4) Dr Herbert Benson, président du Harvard medical School Mind-Body Medical Institute.(5) Bruce McEwen, PhD, directeur du laboratoire de neuro-endocrinologie à université Rockfeller de New York.
Philippe Coat, psychothérapie intégrative / Natalia Coat, développement personnel
Le docteur Bruce Lipton, l’un des pères de l’épigénétique, a été le premier à comprendre qu’une grande partie de notre activité génétique est affectée par des facteurs extérieurs à la cellule. Un exemple parmi d’autres : l’influence de nos émotions sur la cicatrisation. Des chercheurs (3) ont étudié l’effet qu’a le stress associé à des conflits conjugaux sur la cicatrisation des plaies, qui est un marqueur significatif d’activation génétique. A l’aide d’un dispositif de succion, les expérimentateurs ont provoqué de petites ampoules sur la peau de cobayes mariés, après quoi on a demandé à chaque couple d’avoir une discussion neutre d’une demi-heure. Pendant les trois semaines suivantes, les chercheurs ont suivi la production de trois protéines que le corps fabrique en association avec la cicatrisation des plaies. Ils ont ensuite demandé aux mêmes couples de discuter d’un sujet sur lequel ils étaient en désaccord.
Un état émotionnel négatif ralentit la cicatrisation de 40 %
Les chercheurs ont découvert que l’expression des protéines liées à la cicatrisation était déprimée chez les couples qui s’étaient disputés. Même les couples qui avaient eu un simple dialogue autour d’une différence d’opinions, plutôt qu’une franche dispute verbale, montraient de plus lentes cicatrisation de leurs plaies. Mais dans les couples qui avaient eu de sévères désaccords, avec dénigrements, sarcasmes et critiques, la cicatrisation étaient ralentie d’environ 40 %. « Il s’agit de blessures mineures et d’interactions limitées dans le temps. Les conflits conjugaux de la vie réelle ont probablement un impact plus puissant », ajoute Janice Kiecolt-Glaser.
Lorsque vous avez une telle lésion sur la peau et que votre corps a besoin de la réparer, un signal est envoyé aux gènes associés à la cicatrisation. Ces gènes s’expriment en incitant les cellules souches à se transformer en cellules de peau saines et fonctionnelles. Quand il y a interférence avec ce signal, ce qui ici provient des états émotionnels des sujets en colère, les cellules souches ne reçoivent plus clairement le message car l’énergie du corps est occupée à construire des produits biochimiques de réponse à la menace (subjective) déclenchée par la colère. La cicatrisation est compromise.
Anxiété = vieillissement prématuré
Cet exemple laisse imaginer ce qui se passe lorsque nous sommes assaillis de façon régulière par des pensées stressantes. Selon Dawson Church, PhD (2), « La circulation de ces hormones de stress (ndlr : adrénaline, noradrénaline et cortisol) va compromettre votre système immunitaire, affaiblir vos organes et vous faire vieillir prématurément. Vous êtes en train d’activer des gènes qui fonctionnaient parfaitement bien pour l’homme des cavernes (ndlr : c’est-à-dire un processus visant à assurer la survie en maximisant à court terme les performances physiques et mentales pour faire face à un danger), mais qui sont contre-productifs pour l’homme moderne ».
Pour le Dr Herbert Benson (4), « Les pensées stressantes qui conduisent à la sécrétion de la noradrénaline liée au stress entravent nos capacités de guérison naturelles issues de l’évolution. Ces pensées ne sont souvent que dans nos esprits, et non pas une réalité. »
Le neuro-endocrinologue Bruce McEwen, PhD (5), précise « qu’un tel stress use le cerveau, conduisant à l’atrophie cellulaire et à la perte de la mémoire. Il élève également la pression artérielle et le sucre dans le sang (glycémie), qui durcissent les artères et mènent à des maladies cardiaques ».
Sous l’effet du stress, une élévation chronique du taux de cortisol contribue aux affections suivantes :
Tension artérielle élevée
Réduction de la capacité de mémoire et d’apprentissage
Hyperglycémie
Maladies cardiaques
Diminution de la réparation cellulaire
Accélération du vieillissement
Ralentissement de la cicatrisation
Réduction de la réparation osseuse
Diminution des cellules immunitaires en circulation
Diminution des anticorps immunitaires
Mort des cellules cérébrales
Réduction de la masse musculaire
Diminution de la réparation des cellules cutanées
Augmentation de dépôt de graisse autour de la taille et des hanches
Ostéoporose.
Source : Dawson Church, PhD
Comment installer un état d’esprit favorable à ma santé ?
Dawson Church, PhD
Nous sommes donc en bonne partie responsable de notre santé. Dawson Church, PhD (2), avance que « En nous déstressant par le biais de nos attitudes, croyances, hygiène de vie, autosuggestions et spiritualité, nous prenons pleinement part au choix des instruments qui prédomine dans notre symphonie génétique. Lorsque vous comprenez qu’à chaque émotion et pensée, à chaque instant, vous procédez à l’ingénierie épigénétique de vos propres cellules, vous avez soudain sur votre état de santé et de bonheur une capacité d’action qui peut faire toute la différente.»
Très bien : notre santé dépend de nos pensées. Alors concrètement, comment installer en nous un état d’esprit qui va agir favorablement sur notre métabolisme et l’expression de nos gènes pour optimiser notre santé et notre bien être ? Différentes pratiques mobilisant corps et esprit, issues de la thérapie intégrative avancée (AIT), de l’hypnose, des techniques de libération émotionnelle ou encore de la sophrologie permettent d‘agir efficacement. Il s’agira d’une part, de nous libérer de nos entraves (traumatismes, croyances limitantes, automatismes neuro-biologiques ) et d’autre part, d’installer un bon équilibre émotionnel – et de le maintenir dans le temps ! – par une pratique régulière.
Quelle stratégie thérapeutique peut-on adopter ?
Bien entendu, il n’y a pas de parcours type. Tout dépend de votre « carte du monde », parcours de vie, besoins du moment… Voici néanmoins les quelques thématiques sur lesquelles il faudra s’interroger et, le cas échéant agir, pour composer un programme santé adapté tel que le pratique le Cabinet Coat, cabinet de thérapies brèves & développement personnel.
1. Créer en moi une base de sécurité
Dans un premier temps, il conviendra que je développe en moi les ressources nécessaires pour aborder le quotidien avec lucidité et créativité : calme, détente, sécurité, estime de soi. Sans ces ressources primaires, je ne peux pas changer, me projeter dans l’avenir. Dans la peur, impossible d’explorer.
2. Me libérer de mes entraves
S’il y a lieu, il conviendra de me libérer des traumatismes ou conditionnements affectifs qui entretiennent en moi des pensées et émotions qui vont altérer ma santé. Peut être aussi, affaiblir les automatismes de pensée qui me limitent : croyances irrationnelles, distortions cognitives, schémas dysfonctionnels… Des habitudes de penser, d’agir ou de ressentir qui sont figées s’accommodent mal du mouvement permanent qui caractérise la vie qui s’exprime en moi et autour de moi.
3. Renforcer par la répétition les réseaux neuronaux qui sous-tendent les états désirés
Intervenir de façon systématique sur les situations où se manifestent nos états de conscience et/ou comportement problématiques afin de défaire les automatismes neuro-biologiques qui les sous-tendent. Ces automatismes résultent parfois de plusieurs décennies d’apprentissage négatif. Une action répétée – et ce, au moment même où se manifeste l’état problématique – viendra défaire les réseaux neuronaux correspondant et renforcer ceux qui supportent l’état désiré. Cette stimulation répétée est indispensable pour que se maintiennent les nouvelles connexions synaptiques. Dans le cas contraire, après 3 semaines, il ne reste plus rien de l’apprentissage qui avait été effectué (cf. Erik Kandel, prix Nobel de médecine en 2000).
4. Renforcer la conscience de mon identité originelle
Parfois, dans une recherche de sécurité, d’appartenance à une famille symbolique, j’ai adopté inconsciemment une conception de la vie, des valeurs et des comportements qui ne m’appartiennentpas : ce sont peut être ceux de ma mère avec laquelle j’entretiens une relation “fusionnelle”, de mon conjoint, de mon univers professionnel…. Tôt ou tard, je vais ressentir un mal être car je ne suis pas “comme” tel ou tel. Je suis né avec ma singularité, mon originalité. Je ne suis identique à aucun autre être vivant dans l’univers! Une petite voix au fond de moi va finir par me susurrer “tout ça, ce n’est pas toi, tu aspires à autre chose”. Lorsque je ressentirai ce qui fait ma singularité et que je l’accepterai, mes façons d’agir, de penser et de ressentir vont se mettre en consonance avec mes désirs profonds. Je me sentirai alors apaisé, mieux intégré dans l’existence.
5. Mieux ressentir mes désirs authentiques
Une bonne conscience du corps est indispensable. Car mes impressions sensorielles sont nécessaires pour que naisse l’émotion. Et cette émotion précède le désir. Autrement dit, si je ne ressens pas grand chose dans mon corps, j’aurais du mal à prendre conscience de mes vrais désirs. Alors je risque de vivre en référence à des impératifs moraux, aux exigences de la société, à une analyse rationnelle de la situation… Mais pas à mes désirs. En étant bien connecté à mes ressentis, je me dote de cette boussole interne qui va m’indiquer dans quelle direction il est souhaitable que j’oriente ma vie. Quand j’irai dans la bonne direction, ce n’est pas tant mon mental que mon corps qui va me le faire savoir. Je “me sentirai bien”, voilà tout. Mais encore faut-il que “je me sente” ! Ce qui ne va pas de soi car les difficultés de la vie et notamment les traumatismes on tendance à produire une dissociation corps/esprit. Si le corps a fait mal un jour (accident, abus sexuel….) , ou que j’ai crains qu’il fasse mal sous l’effet d’une menace, je me suis peut être mis inconsciemment à distance de ce corps. Si tel est le cas, mes sensations/émotions se sont alors partiellement éteintes et il m’est donc plus difficile de ressentir mes vrais désirs et de développer la volonté nécessaire pour traduire ces désirs dans l’action.
6. Développer mes compétences relationnelles
Lorsque la détente et la sécurité sont là, que je suis libéré de mes entraves et que je m’accepte tel que je suis, que je ressens mes vrais désirs, je peux dorénavant m’ouvrir davantage à l’autre et m’enrichir à son contact. Différentes pratiques peuvent alors favoriser ma capacité d’écoute et l’expression de mes émotions, bases de l’intimité et d’une relation interpersonnelle authentique.
7. Rester dans une dynamique d’évolution constante
Maintenir un bon équilibre physique et émotionnel suppose une pratique régulière. Avec la routine énergétique, 5 minutes matin et soir suffisent.
Une fois qu’un bon équilibre émotionnel a été installé, il faut maintenir ma capacité d’ouverture et d’apprentissage, ma tolérance à l’incertitude inhérente à la vie, ma souplesse. Pour cela, une me faut une pratique régulière pour maintenir l’unité esprit/corps (conscient/inconscient) . Car même le pianiste virtuose perd son niveau s’il abandonne son entrainement. Des pratiques issues de la médecine énergétique (cf. la vidéo “Routine énergétique” sur le présent site) ou de la sophrologie permettent :
d’une part, de mobiliser le corps pour favoriser la circulation de l’énergie et apaiser les structures (amygdale) et mécanismes qui sous-tendent l’anxiété,
de renforcer la présence du corps dans la conscience : rester à l’écoute de mes sensations et de mes émotions, maintenir une bonne unité entre la conscience cognitive et la conscience somatique. Autrement dit, il s’agit de rester constamment en contact avec ce qui fait ma singularité pour, jour après jour, canaliser mon énergie dans le sens qui correspond à mes aspirations profondes.
(1) L’épigénétique est la science qui étudie les sources qui contrôlent l’expression des gènes depuis l’extérieur de l’ADN. Il s’agit d’une étude des signaux qui allument et éteignent les gènes. Certains de ces signaux sont des produits chimiques, d’autres sont électromagnétiques. Certains viennent de l’environnement interne du corps, tandis que d’autres sont la réponse de notre corps à des signaux provenant del’environnement qui entourent notre corps.(2)Dawson Church, Ph.D., est chercheur en médecine énergétique. Il a fondé le Soul Médecine Institute. In Le génie dans vos gènes.(3) Ronald Glaser, faculté de médecine de l’université d’Etat d’Ohio et Janice Kiecolt-Glaser, psychologue.(4) Dr Herbert Benson, président du Harvard medical School Mind-Body Medical Institute.(5) Bruce McEwen, PhD, directeur du laboratoire de neuro-endocrinologie à université Rockfeller de New York.
Des questions ? N’hésitez pas à nous appeler au 07 81 82 54 59
CABINET COAT / Psychothérapie intégrative corps/esprit, Développement personnel, préparation mentale du sportif Strasbourg centre : 2 rue de la brigade d’Alsace-Lorraine – 67000 Strasbourg
A distance, sur Skype.
Thérapie Intégrative Avancée (A.I.T.),
Thérapie des schémas (TCC),
Techniques de libération émotionnelle (E.F.T. clinique),
Techniques de traitement des séquelles somatiques du trauma,
Les bénéfices que vous pouvez attendre de notre thérapie dans le traitement de l’angoisse et du stress
Hypnose, Techniques de libération émotionnelle, sophrologie, thérapie intégrative avancée : une combinaison d’approches est nécessaire
Identifier la source profonde de ce stress : (traumatismes, croyances limitantes, automatismes neuro-biologiques) et la traiter
Eliminer ou atténuer les manifestations somatiques du stress (tensions musculaires, tachycardie, insomnie, vertiges, douleurs dorsales, maux de ventre…)..
Permettre au système nerveux de réagir de façon différente aux stimuli externes (situations, personnes, événements…) ou internes (pensées, discours interne, projections dans le futur…) qui génèrent le stress, autrement dit, vous désensibiliser à ces générateurs de stress.
Le stress joue un rôle dans de nombreux troubles
Philippe Coat, psychothérapie intégrative / Natalia Coat, développement personnel
Le stress est impliqué dans de nombreux troubles et maladies. Ses effets peuvent être physiques ou psychiques. Il est tantôt responsable de l’apparition du problème, de son maintien ou de son aggravation.
Nous sommes nombreux à nous épuiser à tenter de traiter nos symptômes un par un. Mais parfois, ces symptômes ont une seule origine : le stress.
Si vous présentez plusieurs des symptômes suivants, il serait bon d’explorer la piste du stress : maux de tête, tensions musculaires, pâleur, diarrhée, douleur à l’estomac, douleurs lombaires, dorsales ou cervicales, sueurs, bouche sèche, vertiges, respiration accrue, palpitations, douleurs thoraciques, démangeaisons…
Peut-être vos problèmes physiques sont-ils accompagnés d’une évolution de votre comportement : réactions excessives, agressivité, morosité, esprit confus, perte de l’estime de soi, de la confiance en soi, mauvaise humeur, manque d’enthousiasme, irritabilité, idées noires…? Alors l’hypothèse d’une origine liée au stress gagne encore du terrain.
Maximiser nos capacités pour faire face au défi
Le stress est une solution d’adaptation développée au fil de l’évolution humaine dans le but de faire face aux défis de la vie quotidienne.
Les modifications tant physiologiques que psychologiques générées par le stress permettent d’optimiser les capacités du corps et de l’esprit pour nous adapter à un changement ou faire face à un agresseur pour assurer notre survie, soit par la fuite, soit par le combat.
Que la menace soit réelle ou imaginaire, un tel état nécessite une quantité d’énergie très importante et ignore complètement les autres besoins du corps et de l’esprit (récupération, protection à long terme, plaisir, etc.). Si la situation d’urgence génératrice de stress perdure, le corps, comme l’esprit, vont progressivement s’épuiser.
Les dommages psychiques du stress
Mal contrôlé, le stress peut générer des troubles de l’adaptation qui conjuguent dépression, anxiété, voire conduites addictives.
Quand le comportement évolue
L’anxiété est l’un des signes les plus caractéristiques du stress. Elle peut entraîner une gêne quotidienne. Le stress va modifier progressivement le comportement de l’individu : réactions excessives, agressivité, morosité, esprit confus, perte de l’estime de soi, de la confiance en soi, mauvaise humeur, manque d’enthousiasme, irritabilité, idées noires, repli sur soi, refus de voir ses amis, ses collègues ou sa famille… L’appétit se fait moindre, générant une fatigue qui ne va rien arranger.
Les signes du stress, au niveau comportemental et psychologique (1)
Perte de l’appétit, anorexie ou boulimie
Baise de l’estime de soi
Perte de confiance en soi
Irritabilité
Colère fréquentes et sentiment de persécution
Crises de larmes
Perte du sens de l’humour
Hostilité
Agitation
Difficulté de concentration
Baisse de la libido
Usage de drogues, de médicaments psychotropes, d’alcool
Insomnie et cauchemar
Repli sur soi et difficulté à communiquer
Anxiété
Crise de panique
Tristesse
Pertes de mémoire
La libido en berne
L’activation du système sympathique par les hormones du stress va s’opposer à l’érection et à l’afflux de sang dans la verge. Chez la femme, la stimulation du système sympathique va se traduire par une absence de lubrification. Le stress va agir sur l’hypophyse et l’hypothalamus, perturbant le cycle des règles et l’ovulation.
Un état dépressif qui se profile
Le stress peut également amener progressivement vers une dépression nerveuse dite « réactionnelle » qui va aggraver la situation. Cette dépression qui apparait dans les mois suivants le début de la situation stressante, disparait généralement dans les six mois qui suivent l’arrêt du stress. Elle se manifeste par des troubles du sommeil, une perte de l’appétit, une fatigabilité accrue et une grande douleur morale.
L’hypnose permet de désensibiliser aux stimuli générateurs de stress
Le stress n’épargne pas non plus le cerveau. Des lésions des neurones cérébraux ont ainsi été observées chez des sujets soumis à des stress importants. L’hippocampe, une zone du cerveau dédiée à la mémoire, aux apprentissages et aux émotions va s’atrophier sous les assauts répétés du cortisol. Trop de stress nuit donc à la mémoire. Cette atrophie de l’hippocampe est définitive. Elle subsiste lorsque le taux de cortisol revient à la normale.
Quelques uns des événements les plus stressants de la vie
Valeur
Evénement de la vie
100
Décès du conjoint
73
Divorce
65
Séparation conjugale
63
Peine d’emprisonnement
63
Décès d’un proche parent
53
Maladie ou blessure personnelle
50
Mariage
47
Licenciement
45
Réconciliation conjugale
45
Retraite
44
Changement dans l’état de santé ou dans le comportement d’un membre de la famille
40
Grossesse
39
Difficultés sexuelles
39
Nouveau membre dans la famille (naissance, adoption, etc.)
39
Modifications dans son travail, son commerce
38
Changement de situation financière
37
Décès d’un ami proche
36
Changement de métier, de profession
35
Dispute avec son conjoint
31
Hypothèque importante
29
Changement de responsabilité au travail
29
Départ d’un enfant de la maison
29
Problèmes avec sa belle-famille
28
Réalisation majeure sur le plan personnel
26
Début ou arrêt de travail du conjoint
26
Début ou fin d’étude
25
Changement dans ses conditions de vie
24
Révision de ses habitudes de vie
23
Problèmes avec son supérieur
Extrait de l’échelle de Holmes-Rahe; Journal of Psychosomatic Research
Les dégâts physiques du stress
Au fil des mois et des années, le stress chronique ou la répétition de stress aigus ou mineurs finissent par retentir sur l’état de santé. Des maladies peuvent apparaitrent, favorisées ou même générées par l’état de stress.
Un affaiblissement du système immunitaire
Le stress va affaiblir les défenses immunitaires de l’organisme face aux envahisseurs potentiels que sont les champignons, les virus, les bactéries, les cellules cancéreuses, les allergènes…. Sous l’effet de la stimulation du système nerveux sympathique, le nombre des lymphocytes (globules blancs responsables de l’immunité) va diminuer, favorisant ainsi les infections à répétition. Il en est de même pour certains cancers dont l’apparition et l’évolution semblent influencée par le stress.
Plus la situation stressante se prolonge et plus le risque de contracter un rhume augmente (Cohen et al. – Health psychology, 1998)
Diverses études ont étudié les effets du stress d’une manière globale en évaluant son impact sur un grand nombre de sujets. Toutes ont permis de mettre en évidence l’impact du stress sur l’efficacité, entre autres, du système immunitaire. Pour exemple, l’équipe du Dr Sheldon Cohen de l’université de Carnegie Mellon à Pittsburgh aux USA a mené une étude sur un groupe de plus de 400 personnes “cobayes” volontaires âgées entre 18 et 55 ans. Durant la phase initiale de l’expérience, la personne participante était soumise à une batterie de tests (interview, prélèvements sanguins, etc.) afin de déterminer l’état de santé global, le niveau d’efficacité du système immunitaire et le niveau de stress. Ensuite, le virus du rhume était inoculé à ces personnes sous la forme d’une injection nasale. Le but de l’expérience était de savoir s’il était possible de prédire les probabilités de contracter le rhume en fonction du niveau de stress de la personne ayant été infectée. Les résultats mettent clairement en évidence que plus le niveau de stress est élevé et plus le risque de contracter le rhume est important.
Les signes du stress, au niveau somatique (2)
Céphalées
Tremblements
Pâleur
Diarrhée
Douleur à l’estomac
Douleurs lombaires, dorsales ou cervicales
Sueurs
Mains et pieds froids
Bouche sèche
Vertiges
Respiration accrue
Palpitations, douleurs thoraciques
Démangeaisons
L’impact du stress a également été établi pour une maladie beaucoup plus grave, comme le sida. Une étude, publiée dans la revue “Proceedings of the National Academy of Science”, l’établit de façon indiscutable. Chez des patients séropositifs, traités par la trithérapie, les chercheurs ont mesuré deux paramètres: 1) l’activité de l’adrénaline – présente en cas de stress – dans leur corps avant tout traitement; 2) le taux de virus dans le sang.
Ils ont constaté que les patients les moins stressés supprimaient quatre fois plus de virus que les autres, tout traitement égal par ailleurs. En d’autres termes, cela signifie que plus le niveau de stress est élevé et plus le système immunitaire est faible. Inversement, plus le niveau de stress est bas et plus le système immunitaire est efficace et peut combattre de nombreux types de virus, y compris celui du sida.
Cœur et vaisseaux sont affectés
Lorsque le facteur de stress persiste, s’accentue ou se répète trop souvent, des pathologies graves peuvent apparaître, comme l’infarctus du myocarde, l’accident vasculaire cérébral sans parler de l’hypertension artérielle.
Extrait de Stress contrôle – Dr Daniel Gloaguen – Editions Alpen
Problèmes digestifs
Lors d’un stress, le sang a tendance a délaisser le système digestif pour irriguer davantage les organes de la fuite, du combat ou de la résistance (cœur, muscle). D’où l’apparition de troubles digestifs somatiques parfois graves comme la recto-colite hémorragique. Le manque de vascularisation peut aussi perturber la mobilité intestinale et provoquer des maladies digestives fonctionnelles telles que diarrhée, constipation, spasmes et ballonnements. Enfin, l’hyperactivité gastrique constatée lors d’épisode de stress peut déclencher un ulcère à l’estomac, entretenu par l’augmentation du cortisol qui va s’opposer à la cicatrisation de la muqueuse gastrique irritée. De nombreuses raisons qui expliquent la fréquence des douleurs abdominales lors d’épisodes de stress.
Le stress : un mécanisme de défense
Le stress est une solution d’adaptation développée au fil de l’évolution humaine dans le but de faire face aux défis de la vie quotidienne.
Les modifications tant physiologiques que psychologiques générées par le stress permettent d’optimiser les capacités du corps et de l’esprit pour nous adapter à un changement ou faire face à un agresseur pour assurer notre survie, soit par la fuite, soit par le combat.
Au cours d’un stress, les taux de cortisol et d’adrénaline augmentent de façon importante et permanente. Ces hormones vont contribuer à apporter plus d’énergie à l’organisme et en particulier au cerveau et aux muscles au détriment des autres organes (systèmes immunitaire et digestif, peau, organes génitaux).
Cependant, un tel état nécessite une quantité d’énergie très importante et ignore complètement les autres besoins du corps et de l’esprit (récupération, protection à long terme, plaisir, etc.). Si la situation d’urgence génératrice de stress perdure, le corps, comme l’esprit, vont progressivement s’épuiser.
Ces hormones qui deviennent des ennemies
L’adrénaline et le cortisol sont les principales hormones responsables des réactions physiologiques observées dans le stress. Alliées à l’origine, elles deviennent vite des ennemies si la situation stressante se prolonge.
L’adrénaline, hormone de la peur
L’adrénaline va mettre l’organisme dans un état de tension et d’alerte extrême. C’est l’hormone de la peur, de l’action immédiate. Cette hormone va provoquer d’autres réactions favorisant la fuite : augmentation de la respiration, dilatation des bronches, accélération du rythme cardiaque et augmentation de la tension artérielle. Lors d’un stress prolongé, la production excessive d’adrénaline va user l’organisme. Une autre hormone, la noradrénaline, stimule la vigilance ainsi que la motricité corporelle.
Le cortisol, hormone de l’énergie
Le cortisol est l’autre hormone importante du stress. Il va augmenter l’apport en glucose sanguin, nécessaire à un meilleur fonctionnement cérébral et musculaire. C’est l’hormone de l’énergie. On suspecte le cortisol d’être impliqué dans le développement de certains cancers (sein, peu, utérus) chez qui auraient tendance à sécréter plus de cortisol. En outre le cortisol diminuerait l’activité des cellules tueuses du système immunitaire chargées de supprimer les cellules cancéreuses. Par ailleurs, cette hormone accélère la destruction protéique osseuse et s’oppose à la croissance de l’os, élève le taux de cholestérol et de triglycérides, favorise la rétention d’eau par le rein et inhibe l’hormone de croissance.
A chaque stress sa stratégie thérapeutique
La stratégie thérapeutique sera bien entendu très différente selon l’origine du stress. De plus, plusieurs origines peuvent se conjuguer. D’où la nécessité de prendre le temps de bien cerner la problématique lors de la première rencontre.
Par ailleurs, dans cette stratégie d’intervention, une combinaison de techniques sera souvent plus efficace : par exemple de l’EFT (Emotionnal Freedom Techniques) tout d’abord pour éliminer des émotions bloquantes, puis de l’hypnose pour modifier des automatismes inconscients et enfin de la sophrologie pour entretenir sur le long terme une bonne régulation émotionnelle.
Quels sont les bénéfices que peut apporter l’hypnose dans le traitement du stress ?
Tout d’abord, l’hypnose peut le plus souvent éliminer ou atténuer les manifestations somatiques du stress (céphalées, tensions musculaires, diarrhée, vertiges, douleurs dorsales, insomnie…). L’état hypnotique exerce un effet de frein sur le système nerveux sympathique ce qui produit détente musculaire, ralentissement du rythme cardiaque, diminution de la pression artérielle… Cette diminution d’activité du système nerveux sympathique suffira souvent à faire céder les manifestations somatiques du stress, en particulier si le patient pratique régulièrement des séances d’auto-hypnose apprises en cabinet.
On va également apprendre au système nerveux à réagir de façon différente aux stimuli externes (situations, personnes, événements…) ou internes (pensées, discours interne, projections dans le futur…) qui génèrent le stress, autrement dit, vous désensibiliser à ces générateurs de stress.
Il peut être nécessaire d’identifier et de traiter les émotions bloquantes ou limitantes liées à des événements douloureux du passé – voire des traumatismes – (y compris quand ils sont inconnus) et susceptibles d’entretenir votre état de stress ou d’en être à l’origine.
Des séances d’auto-hypnose, apprises en cabinet, permettent au patient, à domicile, de s’entrainer à établir et maintenir un état d’esprit positif, le calme mental et la détente corporelle.
(1), (2), (3) Extraits de Stress contrôle – Dr Daniel Gloaguen – Editions Alpen
Des questions ? N’hésitez pas à nous appeler au 07 81 82 54 59
CABINET COAT / Thérapies brèves, Développement personnel
Strasbourg centre : 2 rue de la brigade Alsace-Lorraine, 67000 Strasbourg
Colmarcentre : 29 rue de la corneille, 68000 Colmar.
Philippe et Natalia Coat
Thérapie Intégrative Avancée (A.I.T.),
Psychothérapie énergétique et cognitive,
Techniques de libération émotionnelle (E.F.T. clinique),
Parmi les techniques de la psychothérapie énergétique on trouve notamment l’EFT (Emotionnal Freedom techniques), utilisé par le cabinet Coat, technique qui permet de modifier rapidement les voies neuronales sous-tendant des problèmes psychologiques.
La plupart des troubles physiques et psychologiques s’accompagne d’un stress (un état physiologique) qui suractive le système nerveux sympathique dont la fonction est de maintenir l’équilibre d’un grand nombre de paramètres physiologiques non-soumis à la volonté : digestion, vascularisation, activité cardiaque, etc.
Sous l’effet du stress, une élévation chronique du taux de cortisol contribue aux affections suivantes :
Tension artérielle élevée
Réduction de la capacité de mémoire et d’apprentissage
Hyperglycémie
Maladies cardiaques
Diminution de la réparation cellulaire
Accélération du vieillissement
Ralentissement de la cicatrisation
Réduction de la réparation osseuse
Diminution des cellules immunitaires en circulation
Diminution des anticorps immunitaire
Mort des cellules cérébrales
Réduction de la masse musculaire
Diminution de la réparation des cellules cutanées
Augmentation de dépôt de graisse autour de la taille et des hanches
Ostéoporose.
Ce stress mobilise une grande partie de notre énergie, entrave de nombreux processus (cicatrisation, immunité…), entraine un épuisement des ressources et un vieillissement accéléré. Ce stress est le produit de mémoires émotionnelles qui agissent à notre insu et sous-tendent l’anxiété, la phobie, le syndrome de stress post-traumatique, les troubles obsessionnels compulsifs, la dépression… L’EFT va permettre de reconsolider ces mémoires émotionnelles, de rétablir l’équilibre du système nerveux autonome et de faire disparaître ou d’atténuer les symptômes physiques ou psychiques.
l’EFT est une technique “psychocorporelle » de traitement des blocages émotionnels liés à des événements passés, présents ou futurs. « Psycho » parce qu’il s’agit de penser à notre problème, et « corporelle » car nous stimulons certains points sur notre corps avec le bout de nos doigts. Ces points spécifiques se trouvent à l’extrémité des méridiens énergétiques, ceux décrits par la médecine traditionnelle chinoise il y a plus de 5000 ans.
La stimulation de ces points méridiens envoie une information au système nerveux autonome (comprenant le sympathique, le parasympathique et l’entérique) et lui dit : « on se calme ! ». C’est un peu comme si on appuyait simultanément sur l’accélérateur du système nerveux, en pensant au problème, et sur le frein, en stimulant les points méridiens. De cette manière, en associant une réponse de calme à un signal qui jusqu’alors déclenchait une réponse de stress, nous désactivons la réponse d’alerte automatique qui était enregistrée dans notre cerveau jusqu’alors. Et donc, nous « déprogrammons » le fonctionnement inapproprié qui était le nôtre jusqu’alors. D’où la notion de libération émotionnelle.
Des automatismes qui nous emprisonnent
Les souvenirs conservés dans le cerveau sont accompagnés chacun d’une émotion. Bien que notre mémoire enfouisse les souvenirs négatifs de manière à ce que cela impacte le moins possible notre existence, ceux-ci se rappellent à nous beaucoup plus facilement que les souvenirs agréables. A chaque fois que certaines conditions sont réunies (une image, un son, la présence d’une personne, une phrase, une intonation, une lumière, un décor…), cela déclenche en nous une mémoire négative et le cerveau nous connecte aussitôt à l’émotion qui s’y rattache telle que la peur, la colère ou la souffrance.
Ces mauvais souvenirs adressent un message d’alerte à notre cerveau et, en même temps, créent des émotions négatives que nous ressentons physiquement. Parce que ces messages agissent comme des impulsions électriques, ils créent des “éclairs” qui court-circuitent notre système énergétique corporel et conduisent à des blocages ou des déséquilibres.
Ce sont ces perturbations qui sont à l’origine des problèmes émotionnels et comportements négatifs. Si nous ne libérons pas ces blocages, ils peuvent rester verrouillés dans notre système énergétique pendant toute notre vie. Ils deviennent évidents seulement lorsque nous commençons à souffrir de symtômes tels que la peur, la colère, la faible estime de soi, la dépendance, l’anxiété ou n’importe quel comportement négatif qui nous empoissonnent l’existence.
Les troubles traités efficacement par L’EFT
Voici une liste non exhaustive de symptômes sur lesquels L’EFT permet d’agir efficacement :
Problèmes liés au manque de confiance en soi : difficulté de parler en public, manque d’estime de soi, jalousie excessive, problèmes relationnels,
Gestion du stress et de l’anxiété et de leurs conséquences : ruminations, troubles d’angoisse, burn out, dépressions,
Peurs inexpliquées et phobies en tout genre,
Syndrome de stress post-traumatique consécutif à des violences ou des agressions,
Viols et abus,
Compulsions et addictions : drogue, alcool, tabac, etc.,
Troubles alimentaires, blocages à l’amincissement,
Troubles obsessionnels compulsifs,
Douleurs somatiques et chroniques, par exemple algodystrophie et fibromyalgie,
Colopathie fonctionnelle,
Allergies,
Problèmes de fertilité,
Problèmes sexuels,
Accompagnement et soutien psychologique des personnes atteintes de cancer,
Insomnies,
Accompagnement des enfants : difficultés d’apprentissage, dyslexie, énurésie, peurs et phobies scolaires, terreurs nocturnes,
Développement des performances sportives – Facilitation des apprentissages.
Les mécanismes en jeu
Lors d’une séance d’EFT durant laquelle on stimule manuellement des points d’acupuncture, on observe une activation de la réponse de relaxation du corps ainsi qu’un phénomène de « contre-conditionnement » grâce à l’association de cet état avec les pensées ou les souvenirs traumatiques.
De plus, les études attestent d’une modification de l’équilibre neurochimique du cerveau. Le niveau d’endorphines augmente ce qui permet une diminution de la perception de la douleur (Swack, 2001 ; Ulett 1992). La production de sérotonine croît également ce qui permet une amélioration de l’humeur (Ruden, 2005 ; Swack, 2001 ; Ulett 1992). L’EFT permet aussi de réguler les niveaux de cortisol, ce qui permet de diminuer la réponse « fuir ou combattre » (Church, 2009 et Ulett, 1992). Autre effet positif : celui de l’augmentation de l’acide gamma aminobutrique (le GABA) qui permet de réduire l’anxiété et d’inhiber la peur (Ruden, 2005).
On observe également un changement au niveau de l’activité cérébrale, notamment au niveau du système limbique et tout particulièrement de l’amygdale et de l’hippocampe qui stocke la mémoire émotionnelle.
Le système nerveux autonome se rééquilibre également grâce à la désactivation de la branche sympathique et de l’activation de l’axe parasympathique qui entraîne une réponse de calme. Ceci se traduit également par une meilleure variabilité du rythme cardiaque.
Pour en savoir plus sur l’EFT, vous pouvez vous reporter à l’ouvrage de Helena Fone et Jean-Michel Gurret : “Découvrir l’EFT” – Collection “Pour les nuls”.
Pour retrouver toutes les références des études scientifiques réalisées sur la psychologie énergétique, vous pouvez consultez le site (américain) suivant : Toutes les études sur la psychologie énergétique
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Techniques de libération émotionnelle (E.F.T. clinique),
Philippe Coat, psychopraticien spécialisé en hypnose et sophrologie
Le Cabinet Philippe Coat organise courant 2017, en Alsace, des stages de traitement du stress, burn out et de l’anxiété chronique.
A environ 50 km de Strasbourg et Mulhouse, ces stages se déroulent dans un cadre très agréable, en pleine forêt vosgienne, en mars, avril, mai et juin. D’une durée d’un ou deux jours, ils alternent des séquences de travail individuel, des échanges en groupe et des pratiques collectives.
Grande fatigue, troubles du sommeil, irritabilité, agressivité, ruminations, perte de concentration…? Inconfort respiratoire, maux de tête et d’estomac? Si vous reconnaissez chez vous un ou plusieurs de ces symptômes, il est temps de passez à l’action.
Nous le savons tous au fond de nous : l’introspection, la réflexion sur notre problème ne fait que lui donner plus de force, plus de consistance encore. Elle ne résoud rien. Pour changer, il faut être dans l’action.
Une palette de techniques complémentaires
Information et inscription au 07 81 82 54 59
Pour vous apporter des résultats optimisés, ces stages mettent en oeuvre une palette de techniques complémentaires au service d’une stratégie thérapeutique claire : Sophrologie, Hypnose, PNL, Techniques de libération émotionnelle.
Bien sur, au cours de ces stages vous apprendrez beaucoup sur les mécanismes du stress et sur votre stress en particulier. Parce que l’on ne peut pas traiter ce que l’on ne connaît pas.
Mais surtout, vous serez très vite dans l’action pour commencer dès les premiers instants du stage à agir efficacement sur votre stress : séance de sophrologie, d’hypnose, pratiques issues de la Programmation Neuro-linguistiques, identification des comportements à faire évoluer… Des acquis et des pratiques que vous pourrez exploiter dans votre quotidien pour obtenir un changement en profondeur.
Découvrez la vidéo : “Traiter efficacement stress, burn-out, anxiété chronique en Alsace”
Vos bénéfices
Trouver un bien-être durable en agissant sur la source de votre stress plutôt que de vous épuiser à intervenir seulement sur les symptômes.
Réagir plus positivement et ne pas être affecté par les situations professionnelles ou privées qui vous posent problème aujourd’hui.
Disposer d’acquis et de techniques que vous pourrez utiliser à domicile ou en situation professionnelle pour des résultats durables et évolutifs.
Le programme
Objectifs
Actions
1. Diminuer dès maintenant mon stress : agir rapidement sur les tensions musculaires et l’agitation mentale.
Pratique collective issue de la sophrologie.
2. Connaître mon stress pour le contrôler : la fonction du stress, ses manifestations, ses dégats physiques et psychiques.
Intervention et échanges.
3. Comment échapper à mon stress : comment se manifeste mon stress, quels sont ses déclencheurs.
Travail individuel sous la conduite des animateurs, recherche collective des solutions.
4. Diminuer dès maintenant mon stress : instaurer le calme mental.
Pratique collective issue du bouddhisme zen.
5. Sur quoi dois-je agir pour traiter mon stress à sa source : conditionnements, croyances, valeurs, relation au corps…
Travail individuel sous la conduite des animateurs. Intervention et échanges.
6. Agir sur l’une des principales racines du stress : limiter les discordances entre mon comportement et mes valeurs. Disposer des élements nécessaires pour dessiner mon projet de vie.
Travail individuel sous la conduite des animateurs.
7. Mieux réguler mes émotions : renforcer la présence du corps et des sensations dans la conscience.
Travail individuel sous la conduite des animateurs.
8. Me désensibiliser aux événements difficiles que j’ai vécus, améliorer ma réaction aux situations critiques du quotidien, accroître ma sensibilité au plaisir.
Pratique collective issue de l’hypnose thérapeutique.
Dates et tarifs
Stage 1 jour
Dimanche 12 mars
9h00 – 17h30
120 € déjeuner inclus
Stage 1 jour
Dimanche 2 avril
9h00 – 17h30
120 € déjeuner inclus
Stage 2 jours
Dimanche 7 et Lundi 8 mai
9h00 – 17h30
190 € déjeuners inclus
Stage 2 jours
Samedi 17 et dimanche 18 juin
9h00 – 17h30
190 € déjeuners inclus
Conduite des stages
Les stages sont animés par Philippe Coat et Natalia Pismennaia.
Philippe Coat
Interventions et conduite des pratiques collectives. Psychopraticien spécialisé en hypnose et sophrologie. Pour découvrir son profil détaillé, rendez vous à la rubrique Votre thérapeute
En cabinet, j’accompagne de nombreux patients souffrant de stress dans leur vie professionnelle ou privée : enseignants, professionnels de santé… Les résultats les plus spectaculaires sont obtenus avec une combinaison de séances en cabinet et de pratiques à domicile, apprises en cabinet, éventuellement guidées par des enregistrements sonores. Dans ce domaine, l’entrainement est très payant. J’exploite les possibilités offertes par l’hypnose, la sophrologie, la programmation neuro-linguistique et les techniques de libération émotionnelles (EFT).
Je connais bien le monde des entreprises et les conditions qui génère le stress et plus largement, la souffrance au travail. D’une part, j’assure des formations auprès de créateurs et repreneurs d’entreprise. D’autre part, dans ma ma vie professionnelle, j’ai aussi assumé des fonctions de direction et d’encadrement et je suis intervenu sur des chantiers liés au management, à la communication et à l’accompagnement du changement. De mon parcours, je tire une connaissance de la culture et des enjeux de diverses organisations (collectivités locales, entreprises petites et grandes, chambres consulaires) et une bonne capacité à susciter la coopération entre les acteurs.
Natalia Pismennaia
En charge de l’appui des stagiaires dans le cadre des exercices individuels. Formatrice indépendante dans l’enseignement professionnel.
J’interviens, pour le compte d’organismes de formation (chambres de commerces plus particulièrement) ainsi que dans les entreprises. J’assure au bénéfice de managers et futurs managers des enseignements relatifs à la gestion et au développement des unités commerciales notamment sur les thématiques du stress, du management, de la communication.
Je connais de l’intérieur les problématiques de stress et de burn out pour avoir assuré des fonctions diverses au sein de réseaux de distribution de grande envergure : direction d’unités commerciales, coordination internationale, formation, management d’équipes multiculturelles en France et à l’étranger.
J’appuie notamment des professionnels dans les phases de transition (promotion, changement d’affectation…) et des étudiants dans les périodes d’examens. Tout autant que les compétences ou l’expérience, je mesure chaque jour à quel point la confiance en soi et la capacité à gérer son stress sont déterminants dans la réussite d’un cursus de formation, d’une recherche d’emploi ou d’une évolution professionnelle.
Publics concernés
Joignez l’utile à l’agréable : traiter votre stress et profitez d’un cadre enchanteur
Le stage s’adresse notamment aux personnes :
souffrant de stress en situation de travail,
connaissant un stress lié à une période de transition dans leur vie privée (rupture avec le conjoint, examens…),
connaissant un stress lié à une période de transition dans leur vie professionnelle (nouvelle fonction dans l’entreprise, changement d’entreprise…),
souffrant d’anxiété chronique,
affectées par un stress apparu suite à un événement difficile.
Inscription au 07 81 82 54 59
Pour vous inscrire, appelez de préférence au 07 81 82 54 59 ou adressez un mail : philippe.coat@contactoffice.fr
L’inscription est définitive après versement d’un acompte de 50 %.
Vous souhaitez être rappelé ?
Pour vous inscrire ou obtenir des informations complémentaires, remplissez simplement les champs ci-dessous et cliquez sur “Envoyer”. Nous vous rappelerons rapidement.
Le lieu des stages
Les stages se déroule en Alsace, au-dessus du beau village de Ribeauvillé soit environ à 59 km de Strasbourg, 50 km de Mulhouse, 16 km de Colmar.
L’auberge de la Clausmatt est située à 600m d’altitude, dans un superbe cadre champêtre. Elle se niche au bord d’une clairière .
Accès
Une fois à Ribeauvillé (68150), prendre la direction de Saintes Marie-aux-Mines par la D 416. Après 1,5 km, à la vue du panneau “La Clausmatt”, prendre à gauche et rouler vers l’auberge sur 3,8 km (route non goudronnée).
Hébergement
L’hébergement sur place est possible dans la limite des disponibilités. Pour tout renseignement, appelez au 03 89 73 86 15.
L’auberge de La Clausmatt propose :
des chambres de 2 à 6 personnes. A partir de 18.50 € par nuit / personne,
un gîte pouvant accueillir jusqu’à 8 personnes. 200 € pour 2 nuits / gite,
un hébergement en dortoir de 9 places : 12 € par nuit / personne.