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Psychothérapie intégrative corps/esprit, Développement personnel - Strasbourg & Téléconsultation

Étiquette : hypnotiseur colmar

POUR ETRE EN BONNE SANTE, SOIGNONS NOS EMOTIONS

psychothérapie, Hypnothérapie, sophrologie, méditation, techniques de libération émotionnelle, Colmar, strasbourg

Philippe Coat, psychothérapie intégrative
/ Natalia Coat, développement personnel

Le docteur Bruce Lipton, l’un des pères de l’épigénétique, a été le premier à comprendre qu’une grande partie de notre activité génétique est affectée par des facteurs extérieurs à la cellule. Un exemple parmi d’autres : l’influence de nos émotions sur la cicatrisation. Des chercheurs (3) ont étudié l’effet qu’a le stress associé à des conflits conjugaux sur la cicatrisation des plaies, qui est un marqueur significatif d’activation génétique. A l’aide d’un dispositif de succion, les expérimentateurs ont provoqué de petites ampoules sur la peau de cobayes mariés, après quoi on a demandé à chaque couple d’avoir une discussion neutre d’une demi-heure. Pendant les trois semaines suivantes, les chercheurs ont suivi la production de trois protéines que le corps fabrique en association avec la cicatrisation des plaies. Ils ont ensuite demandé aux mêmes couples de discuter d’un sujet sur lequel ils étaient en désaccord.

Un état émotionnel négatif ralentit la cicatrisation de 40 %

Les chercheurs ont découvert que l’expression des protéines liées à la cicatrisation était déprimée chez les couples qui s’étaient disputés. Même les couples qui avaient eu un simple dialogue autour d’une différence d’opinions, plutôt qu’une franche dispute verbale, montraient de plus lentes cicatrisation de leurs plaies. Mais dans les couples qui avaient eu de sévères désaccords, avec dénigrements, sarcasmes et critiques, la cicatrisation étaient ralentie d’environ 40 %. « Il s’agit de blessures mineures et d’interactions limitées dans le temps. Les conflits conjugaux de la vie réelle ont probablement un impact plus puissant », ajoute Janice Kiecolt-Glaser. Lorsque vous avez une telle lésion sur la peau et que votre corps a besoin de la réparer, un signal est envoyé aux gènes associés à la cicatrisation. Ces gènes s’expriment en incitant les cellules souches à se transformer en cellules de peau saines et fonctionnelles. Quand il y a interférence avec ce signal, ce qui ici provient des états émotionnels des sujets en colère, les cellules souches ne reçoivent plus clairement le message car l’énergie du corps est occupée à construire des produits biochimiques de réponse à la menace (subjective) déclenchée par la colère. La cicatrisation est compromise.

Anxiété = vieillissement prématuré

Stress Cet exemple laisse imaginer ce qui se passe lorsque nous sommes assaillis de façon régulière par des pensées stressantes. Selon Dawson Church, PhD (2), « La circulation de ces hormones de stress (ndlr : adrénaline, noradrénaline et cortisol) va compromettre votre système immunitaire, affaiblir vos organes et vous faire vieillir prématurément. Vous êtes en train d’activer des gènes qui fonctionnaient parfaitement bien pour l’homme des cavernes (ndlr : c’est-à-dire un processus visant à assurer la survie en maximisant à court terme les performances physiques et mentales pour faire face à un danger), mais qui sont contre-productifs pour l’homme moderne ». Pour le Dr Herbert Benson (4), « Les pensées stressantes qui conduisent à la sécrétion de la noradrénaline liée au stress entravent nos capacités de guérison naturelles issues de l’évolution. Ces pensées ne sont souvent que dans nos esprits, et non pas une réalité. » Le neuro-endocrinologue Bruce McEwen, PhD (5), précise « qu’un tel stress use le cerveau, conduisant à l’atrophie cellulaire et à la perte de la mémoire. Il élève également la pression artérielle et le sucre dans le sang (glycémie), qui durcissent les artères et mènent à des maladies cardiaques ».
Sous l’effet du stress, une élévation chronique du taux de cortisol contribue aux affections suivantes :
  • Tension artérielle élevée
  • Réduction de la capacité de mémoire et d’apprentissage
  • Hyperglycémie
  • Maladies cardiaques
  • Diminution de la réparation cellulaire
  • Accélération du vieillissement
  • Ralentissement de la cicatrisation
  • Réduction de la réparation osseuse
  • Diminution des cellules immunitaires en circulation
  • Diminution des anticorps immunitaires
  • Mort des cellules cérébrales
  • Réduction de la masse musculaire
  • Diminution de la réparation des cellules cutanées
  • Augmentation de dépôt de graisse autour de la taille et des hanches
  • Ostéoporose.
Source : Dawson Church, PhD

Comment installer un état d’esprit favorable à ma santé ?

Dawson Church

Dawson Church, PhD

Nous sommes donc en bonne partie responsable de notre santé. Dawson Church, PhD (2), avance que « En nous déstressant par le biais de nos attitudes, croyances, hygiène de vie, autosuggestions et spiritualité, nous prenons pleinement part au choix des instruments qui prédomine dans notre symphonie génétique.  Lorsque vous comprenez qu’à chaque émotion et pensée, à chaque instant, vous procédez à l’ingénierie épigénétique de vos propres cellules, vous avez soudain sur votre état de santé et de bonheur une capacité d’action qui peut faire toute la différente.» Très bien : notre santé dépend de nos pensées. Alors concrètement, comment installer en nous un état d’esprit qui va agir favorablement sur notre métabolisme et l’expression de nos gènes pour optimiser notre santé et notre bien être ? Différentes pratiques mobilisant corps et esprit, issues de la thérapie intégrative avancée (AIT), de l’hypnose, des techniques de libération émotionnelle ou encore de la sophrologie permettent d‘agir efficacement. Il s’agira d’une part, de nous libérer de nos entraves (traumatismes, croyances limitantes, automatismes neuro-biologiques ) et d’autre part, d’installer un bon équilibre émotionnel – et de le maintenir dans le temps ! – par une pratique régulière.

Quelle stratégie thérapeutique peut-on adopter ?

Bien entendu, il n’y a pas de parcours type. Tout dépend de votre « carte du monde », parcours de vie, besoins du moment… Voici néanmoins les quelques thématiques sur lesquelles il faudra s’interroger et, le cas échéant agir, pour composer un programme santé adapté tel que le pratique le Cabinet Coat, cabinet de thérapies brèves & développement personnel.

1. Créer en moi une base de sécurité

Dans un premier temps, il conviendra que je développe en moi les ressources nécessaires pour aborder le quotidien avec lucidité et créativité : calme, détente, sécurité, estime de soi. Sans ces ressources primaires, je ne peux pas changer, me projeter dans l’avenir. Dans la peur, impossible d’explorer.

2. Me libérer de mes entraves

S’il y a lieu, il conviendra de me libérer des traumatismes ou conditionnements affectifs qui entretiennent en moi des pensées et émotions qui vont altérer ma santé. Peut être aussi, affaiblir les automatismes de pensée qui me limitent : croyances irrationnelles, distortions cognitives, schémas dysfonctionnels… Des habitudes de penser, d’agir ou de ressentir qui sont figées s’accommodent mal du mouvement permanent qui caractérise la vie qui s’exprime en moi et autour de moi.

3. Renforcer par la répétition les réseaux neuronaux qui sous-tendent les états désirés

Réseaux neuronaux

Intervenir de façon systématique sur les situations où se manifestent nos états de conscience et/ou comportement problématiques afin de défaire les automatismes neuro-biologiques qui les sous-tendent. Ces automatismes résultent parfois de plusieurs décennies d’apprentissage négatif. Une action répétée – et ce, au moment même où se manifeste l’état problématique –  viendra défaire les réseaux neuronaux correspondant et renforcer ceux qui supportent l’état désiré. Cette stimulation répétée est indispensable pour que se maintiennent les nouvelles connexions synaptiques. Dans le cas contraire, après 3 semaines, il ne reste plus rien de l’apprentissage qui avait été effectué (cf. Erik Kandel, prix Nobel de médecine en 2000).

4. Renforcer la conscience de mon identité originelle

Parfois, dans une recherche de sécurité, d’appartenance à une famille symbolique, j’ai adopté inconsciemment une conception de la vie, des valeurs et des comportements qui ne m’appartiennent pas : ce sont peut être ceux de ma mère avec laquelle j’entretiens une relation « fusionnelle », de mon conjoint, de mon univers professionnel…. Tôt ou tard, je vais ressentir un mal être car je ne suis pas « comme » tel ou tel. Je suis né avec ma singularité, mon originalité. Je ne suis identique à aucun autre être vivant dans l’univers! Une petite voix au fond de moi va finir par me susurrer « tout ça, ce n’est pas toi, tu aspires à autre chose ». Lorsque je ressentirai ce qui fait ma singularité et que je l’accepterai, mes façons d’agir, de penser et de ressentir vont se mettre en consonance avec mes désirs profonds. Je me sentirai alors apaisé, mieux intégré dans l’existence.

5. Mieux ressentir mes désirs authentiques

Une bonne conscience du corps est indispensable. Car mes impressions sensorielles sont nécessaires pour que naisse l’émotion. Et cette émotion précède le désir. Autrement dit, si je ne ressens pas grand chose dans mon corps, j’aurais du mal à prendre conscience de mes vrais désirs. Alors je risque de vivre en référence à des impératifs moraux, aux exigences de la société, à une analyse rationnelle de la situation… Mais pas à mes désirs. En étant bien connecté à mes ressentis, je me dote de cette boussole interne qui va m’indiquer dans quelle direction il est souhaitable que j’oriente ma vie. Quand j’irai dans la bonne direction, ce n’est pas tant mon mental que mon corps qui va me le faire savoir. Je « me sentirai bien », voilà tout. Mais encore faut-il que « je me sente » ! Ce qui ne va pas de soi car les difficultés de la vie et notamment les traumatismes on tendance à produire une dissociation corps/esprit. Si le corps a fait mal un jour (accident, abus sexuel….) , ou que j’ai crains qu’il fasse mal sous l’effet d’une menace, je me suis peut être mis inconsciemment à distance de ce corps. Si tel est le cas, mes sensations/émotions se sont alors partiellement éteintes et il m’est donc plus difficile de ressentir mes vrais désirs et de développer la volonté nécessaire pour traduire ces désirs dans l’action.

6. Développer mes compétences relationnelles

Lorsque la détente et la sécurité sont là, que je suis libéré de mes entraves et que je m’accepte tel que je suis, que je ressens mes vrais désirs, je peux dorénavant m’ouvrir davantage à l’autre et m’enrichir à son contact. Différentes pratiques peuvent alors favoriser ma capacité d’écoute et l’expression de mes émotions, bases de l’intimité et d’une relation interpersonnelle authentique.

7. Rester dans une dynamique d’évolution constante 

Cabinet Coat, hypnose, sophrologie, psychothérapie énergétique, Colmar, Haut Rhin, thérapies brèves, développement personnel

Maintenir un bon équilibre physique et émotionnel suppose une pratique régulière. Avec la routine énergétique, 5 minutes matin et soir  suffisent.

Une fois qu’un bon équilibre émotionnel a été installé, il faut maintenir ma capacité d’ouverture et d’apprentissage, ma tolérance à l’incertitude inhérente à la vie, ma souplesse. Pour cela, une me faut une pratique régulière pour maintenir l’unité esprit/corps (conscient/inconscient) . Car même le pianiste virtuose perd son niveau s’il abandonne son entrainement. Des pratiques issues de la médecine énergétique (cf. la vidéo « Routine énergétique » sur le présent site) ou de la sophrologie permettent :
  • d’une part, de mobiliser le corps pour favoriser la circulation de l’énergie et apaiser les structures (amygdale) et mécanismes qui sous-tendent l’anxiété,
  • de renforcer la présence du corps dans la conscience : rester à l’écoute de mes sensations et de mes émotions, maintenir une bonne unité entre la conscience cognitive et la conscience somatique. Autrement dit, il s’agit de rester constamment en contact avec ce qui fait ma singularité pour, jour après jour, canaliser mon énergie dans le sens qui correspond à mes aspirations profondes.

Philippe Coat

© Reproduction interdite sans l’accord exprès de l’auteur.
(1) L’épigénétique est la science qui étudie les sources qui contrôlent l’expression des gènes depuis l’extérieur de l’ADN. Il s’agit d’une étude des signaux qui allument et éteignent les gènes. Certains de ces signaux sont des produits chimiques, d’autres sont électromagnétiques. Certains viennent de l’environnement interne du corps, tandis que d’autres sont la réponse de notre corps à des signaux provenant del’environnement qui entourent notre corps. (2)Dawson Church, Ph.D., est chercheur en médecine énergétique. Il a fondé le Soul Médecine Institute. In Le génie dans vos gènes. (3) Ronald Glaser, faculté de médecine de l’université d’Etat d’Ohio et Janice Kiecolt-Glaser, psychologue. (4) Dr Herbert Benson, président du Harvard medical School Mind-Body Medical Institute. (5) Bruce McEwen, PhD, directeur du laboratoire de neuro-endocrinologie à université Rockfeller de New York.
psychothérapie, Hypnothérapie, sophrologie, méditation, techniques de libération émotionnelle, Colmar, strasbourg

Philippe Coat, psychothérapie intégrative
/ Natalia Coat, développement personnel

Le docteur Bruce Lipton, l’un des pères de l’épigénétique, a été le premier à comprendre qu’une grande partie de notre activité génétique est affectée par des facteurs extérieurs à la cellule. Un exemple parmi d’autres : l’influence de nos émotions sur la cicatrisation. Des chercheurs (3) ont étudié l’effet qu’a le stress associé à des conflits conjugaux sur la cicatrisation des plaies, qui est un marqueur significatif d’activation génétique. A l’aide d’un dispositif de succion, les expérimentateurs ont provoqué de petites ampoules sur la peau de cobayes mariés, après quoi on a demandé à chaque couple d’avoir une discussion neutre d’une demi-heure. Pendant les trois semaines suivantes, les chercheurs ont suivi la production de trois protéines que le corps fabrique en association avec la cicatrisation des plaies. Ils ont ensuite demandé aux mêmes couples de discuter d’un sujet sur lequel ils étaient en désaccord.

Un état émotionnel négatif ralentit la cicatrisation de 40 %

Les chercheurs ont découvert que l’expression des protéines liées à la cicatrisation était déprimée chez les couples qui s’étaient disputés. Même les couples qui avaient eu un simple dialogue autour d’une différence d’opinions, plutôt qu’une franche dispute verbale, montraient de plus lentes cicatrisation de leurs plaies. Mais dans les couples qui avaient eu de sévères désaccords, avec dénigrements, sarcasmes et critiques, la cicatrisation étaient ralentie d’environ 40 %. « Il s’agit de blessures mineures et d’interactions limitées dans le temps. Les conflits conjugaux de la vie réelle ont probablement un impact plus puissant », ajoute Janice Kiecolt-Glaser. Lorsque vous avez une telle lésion sur la peau et que votre corps a besoin de la réparer, un signal est envoyé aux gènes associés à la cicatrisation. Ces gènes s’expriment en incitant les cellules souches à se transformer en cellules de peau saines et fonctionnelles. Quand il y a interférence avec ce signal, ce qui ici provient des états émotionnels des sujets en colère, les cellules souches ne reçoivent plus clairement le message car l’énergie du corps est occupée à construire des produits biochimiques de réponse à la menace (subjective) déclenchée par la colère. La cicatrisation est compromise.

Anxiété = vieillissement prématuré

Stress Cet exemple laisse imaginer ce qui se passe lorsque nous sommes assaillis de façon régulière par des pensées stressantes. Selon Dawson Church, PhD (2), « La circulation de ces hormones de stress (ndlr : adrénaline, noradrénaline et cortisol) va compromettre votre système immunitaire, affaiblir vos organes et vous faire vieillir prématurément. Vous êtes en train d’activer des gènes qui fonctionnaient parfaitement bien pour l’homme des cavernes (ndlr : c’est-à-dire un processus visant à assurer la survie en maximisant à court terme les performances physiques et mentales pour faire face à un danger), mais qui sont contre-productifs pour l’homme moderne ». Pour le Dr Herbert Benson (4), « Les pensées stressantes qui conduisent à la sécrétion de la noradrénaline liée au stress entravent nos capacités de guérison naturelles issues de l’évolution. Ces pensées ne sont souvent que dans nos esprits, et non pas une réalité. » Le neuro-endocrinologue Bruce McEwen, PhD (5), précise « qu’un tel stress use le cerveau, conduisant à l’atrophie cellulaire et à la perte de la mémoire. Il élève également la pression artérielle et le sucre dans le sang (glycémie), qui durcissent les artères et mènent à des maladies cardiaques ».
Sous l’effet du stress, une élévation chronique du taux de cortisol contribue aux affections suivantes :
  • Tension artérielle élevée
  • Réduction de la capacité de mémoire et d’apprentissage
  • Hyperglycémie
  • Maladies cardiaques
  • Diminution de la réparation cellulaire
  • Accélération du vieillissement
  • Ralentissement de la cicatrisation
  • Réduction de la réparation osseuse
  • Diminution des cellules immunitaires en circulation
  • Diminution des anticorps immunitaires
  • Mort des cellules cérébrales
  • Réduction de la masse musculaire
  • Diminution de la réparation des cellules cutanées
  • Augmentation de dépôt de graisse autour de la taille et des hanches
  • Ostéoporose.
Source : Dawson Church, PhD

Comment installer un état d’esprit favorable à ma santé ?

Dawson Church

Dawson Church, PhD

Nous sommes donc en bonne partie responsable de notre santé. Dawson Church, PhD (2), avance que « En nous déstressant par le biais de nos attitudes, croyances, hygiène de vie, autosuggestions et spiritualité, nous prenons pleinement part au choix des instruments qui prédomine dans notre symphonie génétique.  Lorsque vous comprenez qu’à chaque émotion et pensée, à chaque instant, vous procédez à l’ingénierie épigénétique de vos propres cellules, vous avez soudain sur votre état de santé et de bonheur une capacité d’action qui peut faire toute la différente.» Très bien : notre santé dépend de nos pensées. Alors concrètement, comment installer en nous un état d’esprit qui va agir favorablement sur notre métabolisme et l’expression de nos gènes pour optimiser notre santé et notre bien être ? Différentes pratiques mobilisant corps et esprit, issues de la thérapie intégrative avancée (AIT), de l’hypnose, des techniques de libération émotionnelle ou encore de la sophrologie permettent d‘agir efficacement. Il s’agira d’une part, de nous libérer de nos entraves (traumatismes, croyances limitantes, automatismes neuro-biologiques ) et d’autre part, d’installer un bon équilibre émotionnel – et de le maintenir dans le temps ! – par une pratique régulière.

Quelle stratégie thérapeutique peut-on adopter ?

Bien entendu, il n’y a pas de parcours type. Tout dépend de votre « carte du monde », parcours de vie, besoins du moment… Voici néanmoins les quelques thématiques sur lesquelles il faudra s’interroger et, le cas échéant agir, pour composer un programme santé adapté tel que le pratique le Cabinet Coat, cabinet de thérapies brèves & développement personnel.

1. Créer en moi une base de sécurité

Dans un premier temps, il conviendra que je développe en moi les ressources nécessaires pour aborder le quotidien avec lucidité et créativité : calme, détente, sécurité, estime de soi. Sans ces ressources primaires, je ne peux pas changer, me projeter dans l’avenir. Dans la peur, impossible d’explorer.

2. Me libérer de mes entraves

S’il y a lieu, il conviendra de me libérer des traumatismes ou conditionnements affectifs qui entretiennent en moi des pensées et émotions qui vont altérer ma santé. Peut être aussi, affaiblir les automatismes de pensée qui me limitent : croyances irrationnelles, distortions cognitives, schémas dysfonctionnels… Des habitudes de penser, d’agir ou de ressentir qui sont figées s’accommodent mal du mouvement permanent qui caractérise la vie qui s’exprime en moi et autour de moi.

3. Renforcer par la répétition les réseaux neuronaux qui sous-tendent les états désirés

Réseaux neuronaux

Intervenir de façon systématique sur les situations où se manifestent nos états de conscience et/ou comportement problématiques afin de défaire les automatismes neuro-biologiques qui les sous-tendent. Ces automatismes résultent parfois de plusieurs décennies d’apprentissage négatif. Une action répétée – et ce, au moment même où se manifeste l’état problématique –  viendra défaire les réseaux neuronaux correspondant et renforcer ceux qui supportent l’état désiré. Cette stimulation répétée est indispensable pour que se maintiennent les nouvelles connexions synaptiques. Dans le cas contraire, après 3 semaines, il ne reste plus rien de l’apprentissage qui avait été effectué (cf. Erik Kandel, prix Nobel de médecine en 2000).

4. Renforcer la conscience de mon identité originelle

Parfois, dans une recherche de sécurité, d’appartenance à une famille symbolique, j’ai adopté inconsciemment une conception de la vie, des valeurs et des comportements qui ne m’appartiennent pas : ce sont peut être ceux de ma mère avec laquelle j’entretiens une relation « fusionnelle », de mon conjoint, de mon univers professionnel…. Tôt ou tard, je vais ressentir un mal être car je ne suis pas « comme » tel ou tel. Je suis né avec ma singularité, mon originalité. Je ne suis identique à aucun autre être vivant dans l’univers! Une petite voix au fond de moi va finir par me susurrer « tout ça, ce n’est pas toi, tu aspires à autre chose ». Lorsque je ressentirai ce qui fait ma singularité et que je l’accepterai, mes façons d’agir, de penser et de ressentir vont se mettre en consonance avec mes désirs profonds. Je me sentirai alors apaisé, mieux intégré dans l’existence.

5. Mieux ressentir mes désirs authentiques

Une bonne conscience du corps est indispensable. Car mes impressions sensorielles sont nécessaires pour que naisse l’émotion. Et cette émotion précède le désir. Autrement dit, si je ne ressens pas grand chose dans mon corps, j’aurais du mal à prendre conscience de mes vrais désirs. Alors je risque de vivre en référence à des impératifs moraux, aux exigences de la société, à une analyse rationnelle de la situation… Mais pas à mes désirs. En étant bien connecté à mes ressentis, je me dote de cette boussole interne qui va m’indiquer dans quelle direction il est souhaitable que j’oriente ma vie. Quand j’irai dans la bonne direction, ce n’est pas tant mon mental que mon corps qui va me le faire savoir. Je « me sentirai bien », voilà tout. Mais encore faut-il que « je me sente » ! Ce qui ne va pas de soi car les difficultés de la vie et notamment les traumatismes on tendance à produire une dissociation corps/esprit. Si le corps a fait mal un jour (accident, abus sexuel….) , ou que j’ai crains qu’il fasse mal sous l’effet d’une menace, je me suis peut être mis inconsciemment à distance de ce corps. Si tel est le cas, mes sensations/émotions se sont alors partiellement éteintes et il m’est donc plus difficile de ressentir mes vrais désirs et de développer la volonté nécessaire pour traduire ces désirs dans l’action.

6. Développer mes compétences relationnelles

Lorsque la détente et la sécurité sont là, que je suis libéré de mes entraves et que je m’accepte tel que je suis, que je ressens mes vrais désirs, je peux dorénavant m’ouvrir davantage à l’autre et m’enrichir à son contact. Différentes pratiques peuvent alors favoriser ma capacité d’écoute et l’expression de mes émotions, bases de l’intimité et d’une relation interpersonnelle authentique.

7. Rester dans une dynamique d’évolution constante 

Cabinet Coat, hypnose, sophrologie, psychothérapie énergétique, Colmar, Haut Rhin, thérapies brèves, développement personnel

Maintenir un bon équilibre physique et émotionnel suppose une pratique régulière. Avec la routine énergétique, 5 minutes matin et soir  suffisent.

Une fois qu’un bon équilibre émotionnel a été installé, il faut maintenir ma capacité d’ouverture et d’apprentissage, ma tolérance à l’incertitude inhérente à la vie, ma souplesse. Pour cela, une me faut une pratique régulière pour maintenir l’unité esprit/corps (conscient/inconscient) . Car même le pianiste virtuose perd son niveau s’il abandonne son entrainement. Des pratiques issues de la médecine énergétique (cf. la vidéo « Routine énergétique » sur le présent site) ou de la sophrologie permettent :
  • d’une part, de mobiliser le corps pour favoriser la circulation de l’énergie et apaiser les structures (amygdale) et mécanismes qui sous-tendent l’anxiété,
  • de renforcer la présence du corps dans la conscience : rester à l’écoute de mes sensations et de mes émotions, maintenir une bonne unité entre la conscience cognitive et la conscience somatique. Autrement dit, il s’agit de rester constamment en contact avec ce qui fait ma singularité pour, jour après jour, canaliser mon énergie dans le sens qui correspond à mes aspirations profondes.
Philippe Coat
© Reproduction interdite sans l’accord exprès de l’auteur.
(1) L’épigénétique est la science qui étudie les sources qui contrôlent l’expression des gènes depuis l’extérieur de l’ADN. Il s’agit d’une étude des signaux qui allument et éteignent les gènes. Certains de ces signaux sont des produits chimiques, d’autres sont électromagnétiques. Certains viennent de l’environnement interne du corps, tandis que d’autres sont la réponse de notre corps à des signaux provenant del’environnement qui entourent notre corps. (2)Dawson Church, Ph.D., est chercheur en médecine énergétique. Il a fondé le Soul Médecine Institute. In Le génie dans vos gènes. (3) Ronald Glaser, faculté de médecine de l’université d’Etat d’Ohio et Janice Kiecolt-Glaser, psychologue. (4) Dr Herbert Benson, président du Harvard medical School Mind-Body Medical Institute. (5) Bruce McEwen, PhD, directeur du laboratoire de neuro-endocrinologie à université Rockfeller de New York.

Des questions ? N’hésitez pas à nous appeler au  07 81 82 54 59

CABINET COAT / Psychothérapie intégrative corps/esprit, Développement personnel, préparation mentale du sportif  Strasbourg centre : 2 rue de la brigade d’Alsace-Lorraine – 67000 Strasbourg A distance, sur Skype.
  • Thérapie Intégrative Avancée (A.I.T.),
  • Thérapie des schémas (TCC),
  • Techniques de libération émotionnelle (E.F.T. clinique),
  • Techniques de traitement des séquelles somatiques du trauma,
  • Hypnose thérapeutique,
  • Hypnose générative,
  • Sophrologie,
  • Programmation Neurolinguistique (PNL),
  • Coaching génératif,

TRAUMATISMES (VIDEO/CONFERENCE)

Traumatismes : leurs conséquences physiques et psychologiques, les traitements efficaces

Voici une nouvelle vidéo à découvrir sur notre chaine Youtube : la conférence donnée par Philippe Coat en juin 2019 à Colmar, en Alsace.

En résumé

Les effets des traumatismes (incluant les carences de soins physiques et affectifs dans l’enfance ou encore les traumatismes transgénérationnels) me maintiennent dans des émotions qui fragilisent ma santé et augmentent nettement la probabilité, à l’âge adulte, de troubles physiques et psychiques. Les stratégies thérapeutiques qui visent exclusivement la disparition des symptômes (anxiété, troubles digestifs, insomnie, migraine, tachycardie…) sont peu efficaces. Par exemple, un somnifère ne va pas traiter l’origine de l’anxiété (un traumatisme, un décès, une inquiétude face à l’avenir…) qui est responsable de mon insomnie ! En outre, une pratique même régulière de disciplines telles que la méditation, le yoga ou encore la sophrologie (dont la valeur ne fait par ailleurs aucun doute) va le plus souvent produire une amélioration de surface tant que la source des symptômes reste active ! De plus, cette amélioration sera peu robuste face aux événements difficiles de la vie dont certains vont avoir tendance à réactiver le traumatisme. Picto Lancer la vidéoEn outre, les thérapies exclusivement verbales sont impuissantes à résoudre le traumatisme. En effet, ce dernier est enregistré essentiellement dans une mémoire inconsciente, de nature corporelle et émotionnelle (et même exclusivement inconsciente pour ce qui concerne les traumas très précoces liés à la vie foetale ou la période pré-verbale, avant 3 ans)  En conséquence, pour accéder à cet apprentissage problématique, il faut passer par le ressenti corporel. Pour être efficace, il faut donc agir à la source (c’est-à-dire sur le ou les traumatismes), obtenir une reconsolidation de la mémoire émotionnelle traumatique (une véritable transformation) puis s’intéresser à la relation au corps souvent très affectée (phénomène de dissociation, de mise à distance des émotions, sensations, pensées) par le traumatisme.

Les thèmes traités dans cette conférence

1. Le traumatisme : définition, fonction, mécanisme. 2. Les différentes catégories de traumatismes, conséquences et traitement :
  • Traumatismes événementiels,
  • Traumatismes relationnels,
  • Traumatismes périnataux,
  • Traumatismes intergénérationnels.
3. Les clefs d’un changement profond et durable
  • Les approches thérapeutiques qui posent problème,
  • La séquence de transformation.
4. Effacer la mémoire traumatique ? « Le meilleur des mondes » à portée de la main.

L’intervenant

Philippe Coat est praticien en Thérapie Intégrative Avancée, hypnothérapeute, sophrologue spécialisé, psycho-énergéticien, praticien en techniques de libération émotionnelle et formateur. Il est certifié dans chacune de ces approches thérapeutiques et diplômé en psychologie.

Des questions ? N’hésitez pas à nous appeler au  07 81 82 54 59

CABINET COAT / Psychothérapie intégrative corps/esprit, Développement personnel, préparation mentale du sportif  Strasbourg centre : 2 rue de la brigade d’Alsace-Lorraine – 67000 Strasbourg A distance, sur Skype.
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  • Thérapie des schémas (TCC),
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STRESS ET ANGOISSE : AGISSEZ A LA SOURCE POUR VOUS LIBERER DURABLEMENT

Les bénéfices que vous pouvez attendre de notre thérapie dans le traitement de l’angoisse et du stress

Stress anxiété hypnose colmar alsace

Hypnose, Techniques de libération émotionnelle, sophrologie, thérapie intégrative avancée : une combinaison d’approches est nécessaire

  • Identifier la source profonde de ce stress : (traumatismes, croyances limitantes, automatismes neuro-biologiques) et la traiter
  • Eliminer ou atténuer les manifestations somatiques du stress (tensions musculaires, tachycardie, insomnie, vertiges, douleurs dorsales, maux de ventre…)..
  • Permettre au système nerveux de réagir de façon différente aux stimuli externes (situations, personnes, événements…) ou internes (pensées, discours interne, projections dans le futur…) qui génèrent le stress, autrement dit, vous désensibiliser à ces générateurs de stress.

Le stress joue un rôle dans de nombreux troubles

psychothérapie, Hypnothérapie, sophrologie, méditation, techniques de libération émotionnelle, Colmar, strasbourg

Philippe Coat, psychothérapie intégrative
/ Natalia Coat, développement personnel

Le stress est  impliqué dans de nombreux troubles et maladies. Ses effets peuvent être physiques ou psychiques. Il est tantôt responsable de l’apparition du problème, de son maintien ou de son aggravation.

Nous sommes nombreux à nous épuiser à tenter de traiter nos symptômes un par un. Mais parfois, ces symptômes ont une seule origine : le stress.

Si vous présentez plusieurs des symptômes suivants, il serait bon d’explorer la piste du stress : maux de tête, tensions musculaires, pâleur, diarrhée, douleur à l’estomac, douleurs lombaires, dorsales ou cervicales, sueurs, bouche sèche, vertiges, respiration accrue, palpitations, douleurs thoraciques, démangeaisons…

Peut-être vos problèmes physiques sont-ils accompagnés d’une évolution de votre comportement : réactions excessives, agressivité, morosité, esprit confus, perte de l’estime de soi, de la confiance en soi, mauvaise humeur, manque d’enthousiasme, irritabilité, idées noires…? Alors l’hypothèse d’une origine liée au stress gagne encore du terrain.

Maximiser nos capacités pour faire face au défi

Le stress est une solution d’adaptation développée au fil de l’évolution humaine dans le but de faire face aux défis de la vie quotidienne.

Les modifications tant physiologiques que psychologiques générées par le stress permettent d’optimiser les capacités du corps et de l’esprit pour nous adapter à un changement ou faire face à un agresseur pour assurer notre survie, soit par la fuite, soit par le combat.

Que la menace soit réelle ou imaginaire, un tel état nécessite une quantité d’énergie très importante et ignore complètement les autres besoins du corps et de l’esprit (récupération, protection à long terme, plaisir, etc.). Si la situation d’urgence génératrice de stress perdure, le corps, comme l’esprit, vont progressivement s’épuiser.

Les dommages psychiques du stress

Mal contrôlé, le stress peut générer des troubles de l’adaptation qui conjuguent dépression, anxiété, voire conduites addictives.

Quand le comportement évolue

L’anxiété est l’un des signes les plus caractéristiques du stress. Elle peut entraîner une gêne quotidienne. Le stress va modifier progressivement le comportement de l’individu : réactions excessives, agressivité, morosité, esprit confus, perte de l’estime de soi, de la confiance en soi, mauvaise humeur, manque d’enthousiasme, irritabilité, idées noires, repli sur soi, refus de voir ses amis, ses collègues ou sa famille… L’appétit se fait moindre, générant une fatigue qui ne va rien arranger.

Les signes du stress, au niveau comportemental et psychologique (1)
  • Perte de l’appétit, anorexie ou boulimie
  • Baise de l’estime de soi
  • Perte de confiance en soi
  • Irritabilité
  • Colère fréquentes et sentiment de persécution
  • Crises de larmes
  • Perte du sens de l’humour
  • Hostilité
  • Agitation
  • Difficulté de concentration
  • Baisse de la libido
  • Usage de drogues, de médicaments psychotropes, d’alcool
  • Insomnie et cauchemar
  • Repli sur soi et difficulté à communiquer
  • Anxiété
  • Crise de panique
  • Tristesse
  • Pertes de mémoire

La libido en berne

L’activation du système sympathique par les hormones du stress va s’opposer à l’érection et à l’afflux de sang dans la verge. Chez la femme, la stimulation du système sympathique va se traduire par une absence de lubrification. Le stress va agir sur l’hypophyse et l’hypothalamus, perturbant le cycle des règles et l’ovulation.

Un état dépressif qui se profile

Le stress peut également amener progressivement vers une dépression nerveuse dite « réactionnelle » qui va aggraver la situation. Cette dépression qui apparait dans les mois suivants le début de la situation stressante, disparait généralement dans les six mois qui suivent l’arrêt du stress. Elle se manifeste par des troubles du sommeil, une perte de l’appétit, une fatigabilité accrue et une grande douleur morale.

Stress Angoisse Anxiété

L’hypnose permet de désensibiliser aux stimuli générateurs de stress

Le stress n’épargne pas non plus le cerveau. Des lésions des neurones cérébraux ont ainsi été observées chez des sujets soumis à des stress importants. L’hippocampe, une zone du cerveau dédiée à la mémoire, aux apprentissages et aux émotions va s’atrophier sous les assauts répétés du cortisol. Trop de stress nuit donc à la mémoire. Cette atrophie de l’hippocampe est définitive. Elle subsiste lorsque le taux de cortisol revient à la normale.

Quelques uns des événements les plus stressants de la vie

Valeur Evénement de la vie
100 Décès du conjoint
73 Divorce
65 Séparation conjugale
63 Peine d’emprisonnement
63 Décès d’un proche parent
53 Maladie ou blessure personnelle
50 Mariage
47 Licenciement
45 Réconciliation conjugale
45 Retraite
44 Changement dans l’état de santé ou dans le comportement d’un membre de la famille
40 Grossesse
39 Difficultés sexuelles
39 Nouveau membre dans la famille (naissance, adoption, etc.)
39 Modifications dans son travail, son commerce
38 Changement de situation financière
37 Décès d’un ami proche
36 Changement de métier, de profession
35 Dispute avec son conjoint
31 Hypothèque importante
29 Changement de responsabilité au travail
29 Départ d’un enfant de la maison
29 Problèmes avec sa belle-famille
28 Réalisation majeure sur le plan personnel
26 Début ou arrêt de travail du conjoint
26 Début ou fin d’étude
25 Changement dans ses conditions de vie
24 Révision de ses habitudes de vie
23 Problèmes avec son supérieur
Extrait de l’échelle de Holmes-Rahe; Journal of Psychosomatic Research

Les dégâts physiques du stress

Au fil des mois et des années, le stress chronique ou la répétition de stress aigus ou mineurs finissent par retentir sur l’état de santé. Des maladies peuvent apparaitrent, favorisées ou même générées par l’état de stress.

 Un affaiblissement du système immunitaire

Le stress va affaiblir les défenses immunitaires de l’organisme face aux envahisseurs potentiels que sont les champignons, les virus, les bactéries, les cellules cancéreuses, les allergènes…. Sous l’effet de la stimulation du système nerveux sympathique, le nombre des lymphocytes (globules blancs responsables de l’immunité) va diminuer, favorisant ainsi les infections à répétition. Il en est de même pour certains cancers dont l’apparition et l’évolution semblent influencée par le stress.

Stress, hypnose, colmar, alsace

Plus la situation stressante se prolonge et plus le risque de contracter un rhume augmente (Cohen et al. – Health psychology, 1998)

Diverses études ont étudié les effets du stress d’une manière globale en évaluant son impact sur un grand nombre de sujets. Toutes ont permis de mettre en évidence l’impact du stress sur l’efficacité, entre autres, du système immunitaire. Pour exemple, l’équipe du Dr Sheldon Cohen de l’université de Carnegie Mellon à Pittsburgh aux USA a mené une étude sur un groupe de plus de 400 personnes « cobayes » volontaires âgées entre 18 et 55 ans. Durant la phase initiale de l’expérience, la personne participante était soumise à une batterie de tests (interview, prélèvements sanguins, etc.) afin de déterminer l’état de santé global, le niveau d’efficacité du système immunitaire et le niveau de stress. Ensuite, le virus du rhume était inoculé à ces personnes sous la forme d’une injection nasale. Le but de l’expérience était de savoir s’il était possible de prédire les probabilités de contracter le rhume en fonction du niveau de stress de la personne ayant été infectée. Les résultats mettent clairement en évidence que plus le niveau de stress est élevé et plus le risque de contracter le rhume est important.

Les signes du stress, au niveau somatique (2)
  • Céphalées
  • Tremblements
  • Pâleur
  • Diarrhée
  • Douleur à l’estomac
  • Douleurs lombaires, dorsales ou cervicales
  • Sueurs
  • Mains et pieds froids
  • Bouche sèche
  • Vertiges
  • Respiration accrue
  • Palpitations, douleurs thoraciques
  • Démangeaisons

 L’impact du stress a également été établi pour une maladie beaucoup plus grave, comme le sida. Une étude, publiée dans la revue « Proceedings of the National Academy of Science », l’établit de façon indiscutable. Chez des patients séropositifs, traités par la trithérapie, les chercheurs ont mesuré deux paramètres: 1) l’activité de l’adrénaline – présente en cas de stress – dans leur corps avant tout traitement; 2) le taux de virus dans le sang.

Ils ont constaté que les patients les moins stressés supprimaient quatre fois plus de virus que les autres, tout traitement égal par ailleurs. En d’autres termes, cela signifie que plus le niveau de stress est élevé et plus le système immunitaire est faible. Inversement, plus le niveau de stress est bas et plus le système immunitaire est efficace et peut combattre de nombreux types de virus, y compris celui du sida.

Cœur et vaisseaux sont affectés

Lorsque le facteur de stress persiste, s’accentue ou se répète trop souvent, des pathologies graves peuvent apparaître, comme l’infarctus du myocarde, l’accident vasculaire cérébral sans parler de l’hypertension artérielle.

Les autres maladies du stress (3)
  • Hypercholestérolémie
  • Asthme
  • Désordres hormonaux (hypo ou hyperthyroïdie)
  • Troubles immunitaires
  • Kyste ovarien
  • Fibrome utérin
  • Troubles de l’ovulation
  • Migraines
  • Problèmes dermatologiques (peau sèche, poriasis, chute des cheveux, allergies, poussée d’herpès, acné)

Extrait de Stress contrôle – Dr Daniel Gloaguen – Editions Alpen

Problèmes digestifs

Lors d’un stress, le sang a tendance a délaisser le système digestif pour irriguer davantage les organes de la fuite, du combat ou de la résistance (cœur, muscle). D’où l’apparition de troubles digestifs somatiques parfois graves comme la recto-colite hémorragique. Le manque de vascularisation peut aussi perturber la mobilité intestinale et provoquer des maladies digestives fonctionnelles telles que diarrhée, constipation, spasmes et ballonnements. Enfin, l’hyperactivité gastrique constatée lors d’épisode de stress peut déclencher un ulcère à l’estomac, entretenu par l’augmentation du cortisol qui va s’opposer à la cicatrisation de la muqueuse gastrique irritée. De nombreuses raisons qui expliquent la fréquence des douleurs abdominales lors d’épisodes de stress.

Le stress : un mécanisme de défense

Le stress est une solution d’adaptation développée au fil de l’évolution humaine dans le but de faire face aux défis de la vie quotidienne.

Les modifications tant physiologiques que psychologiques générées par le stress permettent d’optimiser les capacités du corps et de l’esprit pour nous adapter à un changement ou faire face à un agresseur pour assurer notre survie, soit par la fuite, soit par le combat.

Stress hypnose colmar cortisolAu cours d’un stress, les taux de cortisol et d’adrénaline augmentent de façon importante et permanente. Ces hormones vont contribuer à apporter plus d’énergie à l’organisme et en particulier au cerveau et aux muscles au détriment des autres organes (systèmes immunitaire et digestif, peau, organes génitaux).

Cependant, un tel état nécessite une quantité d’énergie très importante et ignore complètement les autres besoins du corps et de l’esprit (récupération, protection à long terme, plaisir, etc.). Si la situation d’urgence génératrice de stress perdure, le corps, comme l’esprit, vont progressivement s’épuiser.

Ces hormones qui deviennent des ennemies

L’adrénaline et le cortisol sont les principales hormones responsables des réactions physiologiques observées dans le stress. Alliées à l’origine, elles deviennent vite des ennemies si la situation stressante se prolonge.

L’adrénaline, hormone de la peur

L’adrénaline va mettre l’organisme dans un état de tension et d’alerte extrême. C’est l’hormone de la peur, de l’action immédiate. Cette hormone va provoquer d’autres réactions favorisant la fuite : augmentation de la respiration, dilatation des bronches, accélération du rythme cardiaque et augmentation de la tension artérielle. Lors d’un stress prolongé, la production excessive d’adrénaline va user l’organisme. Une autre hormone, la noradrénaline, stimule la vigilance ainsi que la motricité corporelle.

 Le cortisol, hormone de l’énergie

Le cortisol est l’autre hormone importante du stress. Il va augmenter l’apport en glucose sanguin, nécessaire à un meilleur fonctionnement cérébral et musculaire. C’est l’hormone de l’énergie. On suspecte le cortisol d’être impliqué dans le développement de certains cancers (sein, peu, utérus) chez qui auraient tendance à sécréter plus de cortisol. En outre le cortisol diminuerait l’activité des cellules tueuses du système immunitaire chargées de supprimer les cellules cancéreuses. Par ailleurs, cette hormone accélère la destruction protéique osseuse et s’oppose à la croissance de l’os, élève le taux de cholestérol et de triglycérides, favorise la rétention d’eau par le rein et inhibe l’hormone de croissance.

A chaque stress sa stratégie thérapeutique

La stratégie thérapeutique sera bien entendu très différente selon l’origine du stress. De plus, plusieurs origines peuvent se conjuguer. D’où la nécessité de prendre le temps de bien cerner la problématique lors de la première rencontre.

Par ailleurs, dans cette stratégie d’intervention, une combinaison de techniques sera souvent plus efficace : par exemple de l’EFT (Emotionnal Freedom Techniques) tout d’abord pour éliminer des émotions bloquantes, puis de l’hypnose pour modifier des automatismes inconscients et enfin de la sophrologie pour entretenir sur le long terme une bonne régulation émotionnelle.

Quels sont les bénéfices que peut apporter l’hypnose dans le traitement du stress ?

Tout d’abord, l’hypnose peut le plus souvent éliminer ou atténuer les manifestations somatiques du stress (céphalées, tensions musculaires, diarrhée, vertiges, douleurs dorsales, insomnie…). L’état hypnotique exerce un effet de frein sur le système nerveux sympathique ce qui produit détente musculaire, ralentissement du rythme cardiaque, diminution de la pression artérielle… Cette diminution d’activité du système nerveux sympathique suffira souvent à faire céder les manifestations somatiques du stress, en particulier si le patient pratique régulièrement des séances d’auto-hypnose apprises en cabinet.

On va également apprendre au système nerveux à réagir de façon différente aux stimuli externes (situations, personnes, événements…) ou internes (pensées, discours interne, projections dans le futur…) qui génèrent le stress, autrement dit, vous désensibiliser à ces générateurs de stress.

Il peut être nécessaire d’identifier et de traiter les émotions bloquantes ou limitantes liées à des événements douloureux du passé – voire des traumatismes – (y compris quand ils sont inconnus) et susceptibles d’entretenir votre état de stress ou d’en être à l’origine.

Des séances d’auto-hypnose, apprises en cabinet, permettent au patient, à domicile, de s’entrainer à établir et maintenir un état d’esprit positif, le calme mental et la détente corporelle.

(1), (2), (3) Extraits de Stress contrôle – Dr Daniel Gloaguen – Editions Alpen        

Des questions ? N’hésitez pas à nous appeler au  07 81 82 54 59

CABINET COAT / Thérapies brèves, Développement personnel 

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FIBROMYALGIE, DOULEURS CHRONIQUES : AGIR A LA SOURCE EN TRAITANT LES CHOCS EMOTIONNELS

Portrait Philippe
Les traitements de la fibromyalgie ciblent le plus souvent les symptômes (atténuer les douleurs physiques, l’anxiété, la dépression…). Pour traiter ce syndrome à la source avec, dans ce cas, une bonne probabilité d’en libérer le patient, il conviendrait d’agir sur les traumatismes qui sous-tendent souvent ce syndrome ainsi que les résistances inconscientes au changement qui font obstacle à l’évolution vers la guérison. 
Philippe Coat est Praticien et enseignant en psychothérapie intégrative, praticien en Techniques de libération émotionnelle, Hypnothérapeute et Sophrologue spécialisé à Strasbourg et à distance.

Le fibromyalgique a souvent connu un traumatisme 

Fibromyalgie imageDifférents traitements sont prescrits pour soigner la fibromyalgie : des antalgiques, des antidépresseurs ou encore des anti-inflammatoires. A ce traitement médicamenteux s’ajoute parfois une rééducation physique et un accompagnement psychologique. Mais même dans ce cas, l’intervention psychothérapeutique n’est envisagée que comme un complément au traitement médicamenteux en vue de réduire l’anxiété, la dépression ou les douleurs, il n’est jamais envisagé en première intention. Pourtant, nombreuses sont les données qui montrent que les symptômes de fibromyalgie s’accompagne souvent d’un trouble post-traumatique (1). Pourquoi dans ce cas, ne pas mener dans la population des fibromyalgiques qui consultent un dépistage systématique des éventuels traumatismes et les traiter par des thérapies qui ont pleinement fait leurs preuves dans ce domaine tels que l’Hypnose, l’EMDR ou les techniques de libération émotionnelle ? Ces dernières ont fait l’objet d’évaluation scientifiques sérieuses. Il existe aujourd’hui plus de 100 études qui attestent de leur efficacité et plus d’une 40 aine portant spécifiquement sur le traitement du trouble post-traumatique (vétérans américains, victimes du tremblement de terre à Haïti…) (2).

La fibromyalgie

zones-douloureuses-fibromyalgie

La fibromyalgie est une maladie chronique, caractérisée par :
  • des douleurs musculaires ou articulaires permanentes,
  • de la fatigue chronique, en particulier le matin,
  • des troubles du sommeil parfois liés à un syndrome des jambes sans repos,
  • des symptômes dépressifs ou des troubles anxieux,
  • une incapacité à effectuer une tâche ou un exercice physique du fait de la douleur musculaire.
La fibromyalgie touche essentiellement les femmes (80 % des cas) entre 30 et 50 ans. On estime qu’environ 2 % de la population européenne serait touchée par cette maladie, mais ce chiffre reposerait sur des estimations peu précises.

Fibromyalgie et trouble post-traumatique

Comme le souligne l’étude de Keel P., dans de nombreux cas, chez les sujets atteints de fibromyalgie, on découvre des expériences traumatiques répétitives qui ont été vécues aussi bien pendant l’enfance que durant la période adulte (4). D’autres études ont montré la comorbidité qui existe entre la fibromyalgie et les états de stress post-traumatiques (ESPT) (5,6). L’équipe menée par Raphael a mis en évidence dans une population américaine qui ont vécu durant le 11 septembre 2001, l’attaque du World Trade Center, qu’il existe une comorbidité entre la fibromyalgie et les états de stress post-traumatiques (PTSD). Enfin, l’étude menée sous la direction de Cohen H. met en évidence que la prévalence du trouble post-traumatique est significativement plus élevée chez les patients souffrant de fibromyalgie que dans la population générale (7).

Le syndrome de stress post-traumatique

Le trouble le plus typique et le plus fréquent dans les suites d’un événement traumatique est le syndrome de stress post traumatique (SSPT). Le sujet a éprouvé une peur intense, un sentiment d’impuissance ou d’horreur au moment de l’événement : deuil, maladie grave, perte d’un emploi, accident, blessure, séparation brutale, agression, viol, disparition, guerre, catastrophe naturelle…  Après une période de latence qui peut être de quelques jours, quelques mois, voire quelques années, le sujet présente de manière durable trois types de symptômes : 1) un syndrome de reviviscence durant lequel l’évènement traumatique est constamment revécu sous la forme de souvenirs, de cauchemars, d’illusions, d’hallucinations ou de Syndrome stress post traumaflash-backs ; 2) un syndrome d’évitement qui conduit le sujet à fuir toutes les situations, les pensées, les représentations, les émotions et les souvenirs qui lui rappellent l’événement traumatique ; et enfin, 3) un syndrome d’hyper activation sympathique se traduisant par des symptômes neurovégétatifs : troubles du sommeil, irritabilité, difficultés de concentration, hyper vigilance, réactions de sursauts exagérés. Il s’agit d’un trouble le plus souvent chronique. Son retentissement se fait sentir en termes de qualité de vie, de consommation de soins, de handicap fonctionnel et de complications à la fois psychiatriques, dépressives et addictives surtout. Il est à noter, par ailleurs, que l’on repère une comorbidité (présence d’un ou de plusieurs troubles associés à un trouble ou une maladie primaire) entre le SSPT et différents troubles, comme les états dépressifs (risque multiplié par six), l’agoraphobie (risque multiplié par quatre), et enfin l’alcoolisme (risque multiplié par trois). L’étude épidémiologique de Davidson et al. réalisée sur une population générale aux Etats-Unis a retrouvé un risque multiplié par 90 de présenter un trouble de « somatisation » (symptômes qui se manifestent dans le corps) chez les sujets répondant aux critères d’ESPT (3).

Le traitement du traumatisme

Comment produire un changement profond et durable chez un patient fibromyalgique qui a connu un important choc émotionnel ? Les conditions du succès ont été étudiées dans le détail par Bruce Ecker et son équipe (8). Intrigués par le petits nombre de patients en psychothérapie capables de vivre des changements durables, ils décidèrent de les étudier et de repérer les points communs aux thérapies dont ils avaient bénéficié. Ils appellent ces conditions « la séquence de transformation » : émotion vive, juxtaposition d’expériences contradictoires, répétition.
Bruce Ecker

Bruce Ecker, directeur de l’institut “Coherence Psychology Institute”

Selon l’étude conduite par Bruce Ecker, pour produire un changement profond et durable dans le cadre d’une thérapie et notamment, agir efficacement sur les conséquences d’un traumatisme, les conditions à réunir sont les suivantes : 1. Emotion vive La personne doit accéder au souvenir émotionnel ou à l’apprentissage émotionnel de façon vive et marquée. 2. Juxtaposition d’expériences contradictoires Une « expérience de juxtaposition »  contredisant les modèles ou conclusions implicites dérivés de l’expérience originelle doit être activée simultanément. Cela est crucial car l’expérience originelle se voit ainsi infirmer. 3. Répétition L’expérience de juxtaposition doit être répétée à plusieurs reprises pour que la reconsolidation ou l’extinction se produise. Selon Eric Kandel, prix Nobel de médecine en 2000 (8bis), cette répétition est indispensable pour que les nouvelles connexions synaptiques issues de l’expérience qu’a vécu le sujet se maintiennent dans le temps. Nous y ajoutons les conditions du succès d’après Stephen Gilligan (9), Joe Dispenza (10) et Dawson Church (11), des praticiens de renom qui ont une très longue expérience clinique et une approche holistique. 4. Intention positive Le sujet doit se pénétrer de son objectif, de l’état vers lequel il souhaite se diriger (9,10). 5. Connexion à une émotion supérieure Le patient connait une « émotion du coeur » qui lui permet de changer son énergie et de véhiculer son intention positive : amour, gratitude…(10, 11). 6. Stimulation physique La reconsolidation de la mémoire émotionnelle (le changement de la mémoire émotionnelle et la sensation de libération qui s’ensuit) est facilitée par une stimulation physique (11).

Traitement par les Techniques de libération émotionnelle

On comprend mieux dès lors le pourquoi de l’efficacité étonnante des Techniques de libération émotionnelle (2). En effet, on retrouve cette « séquence de transformation » au coeur du protocole utilisé dans ces techniques. On va activer mentalement le souvenir douloureux en replongeant le patient dans les images, sensations, émotions liés à l’événement. Une fois le patient « activé », on stimule une série de points de terminaison de certains méridiens créant ainsi une charge piézoélectrique qui circule à travers le tissu conjonctif le long de la voie de la moindre résistance électrique.
Dia reconso

La reconsolidation de la mémoire émotionnelle

Quand le souvenir traumatique est rappelé, avec la conscience de l’endroit du corps qui garde la mémoire primaire du traumatisme, la stimulation présente à l’organisme un message de sécurité qui n’est pas en harmonie avec le souvenir déclenchant le trouble émotionnel. Ainsi, alors que votre esprit envoie un message de danger, votre corps reçoit un message contradictoire de sécurité. Cela découple le souvenir et la réaction de combat/fuite (stress). Les gènes précoces immédiats qui régule le stress s’expriment et le corps redevient calme. L’intensité de la sensation physique localisée sur le corps baisse, déchargeant l’intensité émotionnelle liée au traumatisme.

Traitement par l’hypnose thérapeutique

Le traumatisme peut également être efficacement traité par l’hypnose. Les protocoles les plus adaptés sont sans doute « la double dissociation » et la « désactivation d’ancre ». Le principe de la désactivation d’ancre est le suivant : l’hypnothérapeute emmène le patient dans un souvenir très agréable marqué, par exemple, par le calme, la détente, la sécurité. Il va ancrer cet état interne, c’est-à-dire qu’il va créer une association dans l’esprit du patient entre cet état interne et un stimulus et ce, par une pression sur l’épaule, un son, une odeur… L’état hypnotique étant un puissant état d’apprentissage, ce lien sera le plus souvent établit immédiatement. Puis il va plonger le patient dans le souvenir douloureux, celui de l’événement, de la situation traumatique et à nouveau, créer un ancrage par un autre stimulus. Troisième étape : les deux ancres sont activées simultanément rappelant en même temps les deux états. L’ancre négative est relâchée avant l’ancre positive qui est maintenue quelques instants. On retrouve ici ce qui, selon Bruce Ecker est l’une des conditions nécessaires à un changement profond et durable : une émotion vive et la juxtaposition d’expériences contradictoires qui vont produire une reconsolidation de la mémoire émotionnelle, autrement dit, une libération. La technique de la « dissociation » (simple ou double) permet, quant à elle, d’ajouter encore davantage de sécurité à la démarche : le patient est dissocié de la situation, il la regarde à distance, un peu à la façon d’un spectateur devant un écran de cinéma. Tous les outils existent donc pour briser cette association entre le souvenir de l’événement et la charge émotionnelle qui l’accompagnait automatiquement. Pour traiter des chocs émotionnels, il convient bien entendu, de faire appel à des professionnels bien formés et expérimentés, connaissant toutes les précautions d’usage. A noter, notamment, que les séances portant spécifiquement sur l’événement traumatique seront toujours précédées d’un travail préparatoire sur les sensations, les émotions et les pensées associées aux symptômes. Le terrain doit être préparé avec précaution.

Fibromyalgie et inversion psychologique

Autre mécanisme fréquemment observé dans la fibromyalgie: l’inversion psychologique. Il s’agit d’une forte résistance inconsciente au changement qui provient de la peur de perdre le bénéfice tangible ou symbolique qu’apporte le trouble, le symptôme, la maladie (voir encadrés ci-après). Bien qu’il soit largement connu par la psychothérapie, ce mécanisme n’est que très rarement pris en compte. Il va alors constituer une puissante entrave à toute évolution vers la guérison. L-EFT-pour-liberer-vos-emotions_imagePanoramique647_286 Dans l’inversion psychologique, une partie consciente de moi souhaite changer, se débarrasser de mon trouble tandis qu’une partie inconsciente craint ce changement.  Les raisons de cette peur sont très diverses : ce changement peut représenter une menace pour mon identité ? L’équilibre du système familial est peut être menacé ? Ou alors je crois ne pas avoir le droit au bonheur ? Peut-être ai-je peur de perdre la sollicitude dont mon conjoint fait preuve à mon égard depuis que je suis souffrant(e)…? Les praticiens en Techniques de libération émotionnelle le constatent tous les jours : pendant le traitement d’un trouble, la diminution d’une émotion problématique (évaluée sur une échelle subjective de détresse) connait parfois un coup d’arrêt. Le traitement ne progresse plus. C’est souvent le signe qu’une inversion psychologique bloque le processus de libération émotionnelle. Une fois traité cet « auto-sabotage inconscient », la libération se poursuit et parvient à sa résolution totale.

Traitement de l’inversion psychologique par les Techniques de libération émotionnelle

Sans entrer dans des détails qui seraient hors de propos dans cet article, la procédure est schématiquement la suivante : le thérapeute évoque à voix haute toutes les peurs que pourrait susciter chez le patient la perspective du changement ou de la guérison. La – ou les – propositions qui font mouche suscitent un stress. Dans le même temps, on stimule un ou plusieurs points de terminaison de méridiens, déclenchant ainsi un signal contradictoire qui apaise le système nerveux. Sous l’effet de la juxtaposition de ces expériences contradictoires, l’émotion qui était anxiogène revient à la neutralité et le patient parvient alors à envisager le changement sous son jour favorable. La résolution du trouble peut maintenant se poursuivre.
Inversion psychologique avec bénéfice tangible Le cas de Marie, atteinte d’une hyper-inflammation du nerf sciatique Les traitements que suit marie ne semblent pas beaucoup atténuer sa douleur et encore moins venir à bout de son problème. En arrêt maladie depuis 2 mois, elle est employée depuis 15 ans dans l’industrie où elle est formatrice. Elle connaît son métier sur le bout des doigts. Enjouée, dynamique, dotée d’une autorité naturelle ,elle est appréciée dans ce milieu masculin où elle a su se faire une place. Avant l’apparition de sa maladie, elle se déplaçait beaucoup en voiture d’un site à un autre. Elle marche maintenant avec peine. La thérapie se désintéresse volontairement de son symptôme pour cerner ce qui se joue en elle. Son affection du nerf sciatique n’est pas le problème à traiter, il n’en est que l’ombre, la manifestation. Sa maladie est la compensation symbolique inconsciente d’une émotion qui n’a pas pu s’exprimer, d’un désir profond qui n’a pas pu venir à la conscience : elle a intégré ce milieu professionnel à une époque où, dans ses choix, acquérir une sécurité matérielle importait plus que la possibilité de se réaliser dans son métier. Elle est aujourd’hui respectée pour ses compétences, dirige une équipe, gère des budgets importants et tout cela comble son ego. Mais dans le même temps, ses aspirations profondes ont évoluées, elle a changé. Elle s’est d’ailleurs récemment formée au Yoga, s‘intéresse à la spiritualité… et s’éloigne peu à peu du système de valeurs dominant dans son milieu professionnel où prime la recherche de « l’excellence », le « just in time », « le client roi », « l’agressivité commerciale »… Et même si elle ne se l’ai pas encore tout à fait avoué, ces valeurs lui semblent aujourd’hui puériles. Mais est-elle pour autant prête à renoncer aux avantages que lui procure son poste ? Alors ce conflit interne inconscient qui ne peut pas s’exprimer par des mot va se manifester dans son corps. Ce corps exprime le désir profond qui traverse Marie : évoluer dans un environnement en consonance avec ses valeurs et qui lui permettrait de s’accomplir en tant qu’être humain. Quel bénéfice tire t-elle de cette douleur qu’elle doit endurer ? La maladie la maintient opportunément à distance d’un milieu qui ne la nourrit plus. Le médecin ou thérapeute qui s’avisera de faire disparaître son affection à court terme avec une approche allopathique (en se focalisant sur les symptômes) va à l’échec. Les symptômes ne céderont sans doute pas durablement tant que persistera son conflit interne.
Inversion psychologique avec bénéfice symbolique Le cas de Alain, partagé entre sa femme et sa maitresse Alain est torturé lui aussi par un dilemme qui rend le changement difficile. Il est marié avec Julie depuis 20 ans, heureux dans son couple. A l’âge de 45 ans, il constate avec dépit qu’il n’avale plus ses 10 kilomètres de course à pieds dominicale avec aisance. C’est dans ce contexte qu’il croise un amour de jeunesse et depuis entretient des relations ponctuelles avec cette femme. La situation le fait souffrir, fait aussi souffrir sa femme à laquelle il a avoué sa liaison. Mais il ne parvient pas à prendre une décision : quitter sa femme ou mettre fin à sa relation ? On pourrait comprendre que la difficulté du renoncement à cette liaison s’explique notamment par le plaisir – sexuel et affectif – qu’elle lui procure. Mais le travail thérapeutique réalisé avec Alain révèle qu’il n’est pas amoureux de cette femme, qu’il n’était pas insatisfait sur un plan sexuel avant sa rencontre et qu’enfin, il est toujours amoureux de Julie qui compte énormément pour lui. Alors pourquoi reste t-il dans cette situation ? Parce qu’elle lui procure un bénéfice symbolique important : alors que les effets de l’âge commencent à se faire sentir, monte une angoisse de mort encore inconsciente. Cette relation extra-conjugale représente sa jeunesse perdue, sa vitalité d’autrefois et surtout l’ensemble des possibles qui s’offraient à lui à l’époque de ses 20 ans. Y renoncer, ce serait prendre conscience de tout ce qui n’est désormais plus possible. « Et se défaire du rempart qu’il a édifié pour tenter de contenir cette angoisse de mort qui commence à poindre » (12).

En conclusion

Dans la prise en charge de la fibromyalgie, les traitements relevant de la psychothérapie sont aujourd’hui utilisés presque exclusivement dans le but de traiter les symptômes (douleurs, anxiété, dépression…). Or il n’est pas imprudent de considérer que des traumatismes de l’enfance et/ou à l’âge adulte pourraient être – à l’origine – d’un bon nombre de cas de fibromyalgie. Nous militons donc pour un dépistage et un traitement systématique de ces traumatismes chez les consultants (traumatismes dont certains peuvent être totalement refoulés, donc inaccessibles à l’état conscient et par conséquent non identifiables par le simple questionnement) et de l’inversion psychologique qui accompagne fréquemment la fibromyalgie et qui n’est quasiment jamais prise en compte. Les techniques de libération émotionnelle (issues de la psychothérapie émotionnelle et cognitive) ainsi que l’hypnose thérapeutique ont pleinement fait leurs preuves dans ce domaine.

      Philippe Coat, Praticien en psychothérapie énergétique et cognitive, Hypnothérapeute et Sophrologue spécialisé. à Colmar

© Reproduction interdite sans l’accord exprès de l’auteur.

  • 1. AFRASIAB Malima. Psychologue au CNRS. Le trouble post-traumatique et la fibromyalgie. Traumapsy. 2010 déc.
  • 2. Etudes et meta-analyses sur les effets de L’Emotional Freedom Techniques, notamment pour le traitement des syndromes de stress post-traumatique. Site web EFT Universe https://www.eftuniverse.com/research-studies
  • 3. DAVIDSON J, HUGHES D, BLAZER D, GEORGE L. Post-traumatic disorder in the community : an epidemiological study. Psychol Med 1991 ; 21:7133-721.
  • 4. KEEL P., Z RHEUMATOL. Psychological and psychiatric aspects of fibromyalgia syndrome (FMS). Psychiatrische Universitätspoliklinik Zweigstelle, Basel, Switzerland.1998 ;57 Suppl 2:97-100
  • 5. RAPHAEL KG JANALl MN, NAYAK S. Comorbidity of fibromyalgia and posttraumatic stress disorder symptoms in a community sample of women. Pain Med. 2004 Mar ; 5(1):33-41
  • 6. SHERMAN JJ, TURK DC, OKIFUJI A. . Prevalence and impact of posttraumatic stress disorder-like symptoms on patients with fibromyalgia syndrome. Clin J Pain 2000 Jun ; 16(2):127-34
  • 7. COHEN H, NEUMANN L, HAIMAN Y, MATAR MA, PRESS J, BUSKILA D. Disorder in fibromyalgia patients : overlapping syndromes or post-traumatic fibromyalgia syndrome ? Semin Arthritis Rheum 2002 Aug ; 32(1):38-50.
  • 8. ECKER Bruce et collègues, Unlocking the emotionnal brain («Déverrouiller le cerveau émotionnel »). Bruce Ecker, M.A., L.M.F.T. , co-fondateur de la thérapie de la cohérence, directeur de l’institut “Coherence Psychology Institute”.
  • 8 bis. KANDEL Eric Richard est un médecin psychiatre et chercheur en neurosciences d’origine autrichienne. Il est professeur de biochimie et de biophysique à l’université Columbia de New York. En 2000, il a reçu le prix Nobel de médecine.
  • 9. GILLIGAN Stephen, PhD, L’hypnose générative. InterEditions, 2015.
  • 10. DISPENZA Joe, PhD, Devenir super-conscient. Guy Trédaniel, 2018.
  • 11. CHURCH Dawson, PhD, Le génie dans vos gènes. Energy Psychology Press, 2009.
  • 12. YALOM D. Irvin, Existential psychotherapie (Thérapie existentielle). Basic Books, 1980. Irvin Yalom est professeur émérite de psychiatrie à Stanford et psychothérapeute.

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  • Thérapie des schémas (TCC),
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{INTERVIEW} HYPNOSE : UN ETAT DE CONSCIENCE ELARGIE

 l'alsace

Propos recueillis par Véronique BERKANI

En quoi consiste l’hypnose thérapeutique ?

Philippe Coat : Tout d’abord, je tiens à préciser que l’hypnose thérapeutique n’a rien à voir avec l’hypnose de spectacle, qui s’est beaucoup développée ces dernières années. L’hypnothérapie est une forme de psychothérapie menée avec de l’hypnose. Lorsqu’on se trouve en état hypnotique, notre activité électrique cérébrale diminue, tandis que quatre toutes petites zones situées dans le cerveau émotionnel – ou limbique – se montrent très actives. Dans ces moments-là, le cerveau est très sensible au langage symbolique. Cet état physiologique particulier n’a rien à voir avec le sommeil, et encore moins avec l’inconscience ou le coma. C’est même tout le contraire : sous hypnose, on se trouve en état de conscience élargie, à l’exact opposé de ce que produit le stress, qui fait le lit de toutes les maladies. Les fonctions vitales tels le rythme cardiaque, la pression artérielle, le tonus musculaire, la température corporelle, etc., fonctionnent alors au ralenti.

Sur le plan psychique, on se retrouve dans un espace de liberté où l’on est affranchi de toutes les « limitations apprises » (« tu n’es pas capable de… », « je suis convaincu que je ne peux pas apprendre à jouer du piano, faire des études supérieures… »), des conditionnements affectifs et des distractions mentales. C’est un état de concentration extrême dans lequel on est très lucide et très créatif, ce qui permet d’aller chercher dans son inconscient des solutions pour évoluer, changer dans un sens conforme à ses aspirations.

« Un état d’entre-deux »

Que ressent-on en état d’hypnose ?

P.C. : Cela dépend de chacun, mais on identifie tout de même certaines constantes. Les patients rapportent souvent un état d’entre-deux : on est à la fois conscient, on entend et on voit l’hypnothérapeute, on sait où on se trouve. Mais, dans le même temps, on est ailleurs, en train de vivre une expérience avec des sensations visuelles, auditives, olfactives, kinesthésique, gustatives, tactiles… Après la séance, l’état de détente corporelle est inhabituel et très profond.

Sur quoi repose l’efficacité de l’hypnothérapie ?

P.C. : Elle tient au fait qu’on fait l’expérience du changement auquel on aspire. Notre cerveau ne fait pas la différence entre ce qu’on vit et ce qu’on imagine efficacement.

Dans quels cas le recours à l’hypnothérapie est-il indiqué ?

P.C. : En cas de troubles émotionnels et psychologiques (angoisse, état dépressif, perte de confiance en soi, stress…), de troubles du comportement (addictions, troubles alimentaires, phobies, TOC…) ou de troubles organiques. Attention, l’hypnose ne prétend pas guérir les troubles organiques, mais améliorer le terrain sur lequel s’est développée la maladie et traiter les éventuels traumatismes suspectés d’être à l’origine de la maladie ou de l’entretenir. C’est le cas notamment de la sclérose en plaques et de la fibromyalgie.

L’hypnose permet aussi de développer ses capacités d’apprentissage, de concentration, de créativité, voire ses performances sportives, ainsi que ce que j’appelle le « développement existentiel » qui favorise l’intégration de l’individu dans l’existence, aide à trouver un sens à sa vie, à se sentir bien dans sa vie…

« 5% totalement réfractaires »

Est-ce que tout le monde peut être hypnotisé ?

P.C. : D’après une étude de l’Université Stanford, 30 % des gens sont assez peu réceptifs, dont 5 % sont totalement réfractaires. Il y a des bons sujets qui entrent aisément en état hypnotique, d’autres pour lesquels c’est plus difficile. Mais l’hypnose, comme le vélo ou la pratique d’une langue étrangère, est un apprentissage. Si on s’entraîne, nos capacités grandissent et le champ des possibles s’élargit.

Perd-on le contrôle lorsqu’on est en état hypnotique ?

P.C. : Non car, dans cet état, on n’est pas inconscient. Toute suggestion qui ne serait pas conforme à nos valeurs me ferait sortir de cet état.

La pratique de l’hypnose se développe-t-elle dans le milieu médical ?

P.C. : Dans les formations que je dispense, je remarque une demande importante de la part des infirmières. L’hypnose médicale est de plus en plus utilisée dans le milieu hospitalier pour l’hypno-sédation et l’hypno-analgésie.

V.B.

L’association Hishiryo

Créée en 2017, l’association colmarienne Hishiryo vise à favoriser la diffusion des connaissances relatives aux thérapies brèves (hypnose, programmation neuro-linguistique…), aux thérapies psycho-corporelles (sophrologie, techniques de libération émotionnelle, Gestalt thérapie…) et aux disciplines relevant du développement personnel.

Les activités de l’association incluent la production d’audiovisuels, l’organisation de manifestations, de rencontres entre professionnels, l’édition d’ouvrages et l’organisation d’actions de formation ou de stages à visée thérapeutique.

CONTACTER Association Hishiryo, 37 Grand-Rue à Colmar. 06.16.96.86.93, www.hishiryo-association.org

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HYPNOSE VIDEO 18 : mon symptôme a-t-il une signification ?

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Voici le 18ème volet d’une série de 20 vidéos regroupées sous le nom « L’hypnose en 20 questions ». Il a pour titre « Mon symptôme a-t-il une signification ? ».

La vocation de cette série est de vous apporter des réponses concises aux principales questions que vous pouvez vous poser au sujet de cette forme de thérapie.

Les vidéos déjà disponibles et à venir:
1. Qu’est-ce que je vais ressentir dans l’état hypnotique ?
2. À quoi tient l’efficacité de l’hypnothérapie ?
3. Quel sera l’effet de l’état hypnotique sur mon corps ?
4. Suis-je hypnotisable ?
5. Faut-il que j’y crois pour que ça marche ?
6. Est-ce que je vais perdre le contrôle ?
7. Quels types de problèmes peut-on traiter avec l’hypnose ?
8. L’état hypnotique est-il comparable au sommeil ou à la méditation ?
9. Combien de séances me faudra-t-il ?
10. Comment choisir un Hypnothérapeute ?
11. Pourrai-je prendre le volant après une séance d’hypnose ?
12. Est-ce que je dois tout révéler à mon thérapeute ?
13. Est-ce que je serai perturbée par mon hypnothérapie ?
14. Faut-il que je donne un objectif précis à mon hypnothérapie ?
15. La prise de médicaments est-elle compatible avec une hypnothérapie ?
16. L’hypnose peut-elle être dangereuse ?
17. L’hypnothérapie a-t-elle quelque chose à voir avec la psychothérapie ?
18. Mon symptôme a-t-il une signification ?
19. Peut-on aider quelqu’un qui est réticent à se soigner ?
20. Y a-t-il un parcours type dans une hypnothérapie ?

Des questions ? N’hésitez pas à nous appeler au  07 81 82 54 59.

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PERDRE DU POIDS

Pourquoi les régimes ne marchent-ils jamais longtemps ?

hypnose colmar alsace perte de poids maigrir métabolisme

Le métabolisme est influencé par ce qui se joue en moi : conflits internes, pensées, émotions…

Par un travail de fond sur les mécanismes inconscients qui mènent au surpoids, un traitement par les thérapies brèves et thérapies psycho-corporelles apporte de bonnes chances de maigrir enfin durablement. Il est bien entendu très utile et important de manger équilibré en quantité et en qualité. Mais deux individus mangeant strictement la même chose ne vont pas connaitre la même évolution pondérale. Pourquoi ?

Parce que la façon dont je métabolise les aliments dépend largement du psychisme, autrement dit de mes pensées, mes émotions, mes conflits internes. Ce qui entre en moi est important mais ce qui en sort (le résultat du métabolisme) aussi. Les études montrent que la quasi totalité des régimes sont inefficaces à moyen ou long terme. Probablement parce qu’ils n’agissent que sur l’ombre du problème (le comportement alimentaire, diminuer les quantités, améliorer la qualité) mais pas sur le problème lui-même.

Il faut agir sur la source du comportement néfaste

Pourquoi suis-je amenée à trop manger ? Si, par exemple, je mange pour tenter de retrouver la sécurité qui me fait défaut, il s’agira alors de m’apprendre comment installer progressivement en moi cette sécurité, comment aussi peut-être me libérer de l’influence des événements douloureux ou conditionnements qui peuvent être à la source de mon anxiété. Dès lors, je ne ressentirai plus la nécessité de manger en quantité excessive. Et la perte de poids pourra être durable. Cette approche du trouble qui consiste à agir à la source du problème est beaucoup plus efficace (faut-il s’en étonner ?).

Sans compter que ses bénéfices s’étendent bien au-delà du seul comportement alimentaire. En comprenant ce qui cherche à s’exprimer en moi dans ce comportement néfaste pour ma santé, je saisi une opportunité d’évolution personnelle, d’enrichissement de ma vie.

Pour en savoir plus, vous pouvez aussi consulter l’article suivant :
https://hypnose-sophrologie68colmar.com/hypnose-colmar…


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HYPNOSE VIDEO 9 : combien de séances me faudra-t-il ?

Pour être informé des prochaines publications de ces vidéos, cliquez sur « Suivre HYPNOSE ALSACE ».

Vignette HYPNOSE Q9 combien de séances ne faudra-t-il?Voici le 9ème volet d’une série de 20 vidéos regroupées sous le nom « L’hypnose en 20 questions ».

Picto Lancer la vidéoLa vocation de cette série est de vous apporter des réponses concises aux principales questions que vous pouvez vous poser au sujet de cette forme de thérapie.

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1. Qu’est-ce que je vais ressentir dans l’état hypnotique ?
2. À quoi tient l’efficacité de l’hypnothérapie ?
3. Quel sera l’effet de l’état hypnotique sur mon corps ?
4. Suis-je hypnotisable ?
5. Faut-il que j’y crois pour que ça marche ?
6. Est-ce que je vais perdre le contrôle ?
7. Quels types de problèmes peut-on traiter avec l’hypnose ?
8. L’état hypnotique est-il comparable au sommeil ou à la méditation ?
9. Combien de séances me faudra-t-il ?
10. Comment choisir un Hypnothérapeute ?
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12. Est-ce que je dois tout révéler à mon thérapeute ?
13. Est-ce que je serai perturbée par mon hypnothérapie ?
14. Faut-il que je donne un objectif précis à mon hypnothérapie ?
15. La prise de médicaments est-elle compatible avec une hypnothérapie ?
16. L’hypnose peut-elle être dangereuse ?
17. L’hypnothérapie a-t-elle quelque chose à voir avec la psychothérapie ?
18. Mon symptôme a-t-il une signification ?
19. Peut-on aider quelqu’un qui est réticent à se soigner ?
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HYPNOSE VIDEO 2 : à quoi tient l’efficacité de l’hypnose?

Vignette HYPNOSE Q2 A quoi tient l'efficacité de l'hypnose ? 8 oct. 2017 à 19:00:01

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1. Qu’est-ce que je vais ressentir dans l’état hypnotique ?
2. À quoi tient l’efficacité de l’hypnothérapie ?
3. Quel sera l’effet de l’état hypnotique sur mon corps ?
4. Suis-je hypnotisable ?
5. Faut-il que j’y crois pour que ça marche ?
6. Est-ce que je vais perdre le contrôle ?
7. Quels types de problèmes peut-on traiter avec l’hypnose ?
8. L’état hypnotique est-il comparable au sommeil ou à la méditation ?
9. Combien de séances me faudra-t-il ?
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12. Est-ce que je dois tout révéler à mon thérapeute ?
13. Est-ce que je serai perturbée par mon hypnothérapie ?
14. Faut-il que je donne un objectif précis à mon hypnothérapie ?
15. La prise de médicaments est-elle compatible avec une hypnothérapie ?
16. L’hypnose peut-elle être dangereuse ?
17. L’hypnothérapie a-t-elle quelque chose à voir avec la psychothérapie ?
18. Mon symptôme a-t-il une signification ?
19. Peut-on aider quelqu’un qui est réticent à se soigner ?
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CONFERENCE A COLMAR : COMMENT TRAITER EFFICACEMENT STRESS, ANXIETE

Samedi 18 mars à 15h00, Maison des associations

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« Pour être efficace, il faut identifier les sources profondes et s’appuyer sur la force de l’entrainement ».

L’association des fibromyalgiques d’Alsace* organise une conférence gratuite, ouverte à tous (dans la limite des places disponibles) sur le stress, le burn-out et l’anxiété. Cette conférence, qui fera suite à l’Assemblée Générale de l’association, se tiendra à partir de 15h00, dans l’amphithéâtre de la Maison des Associations, 6 route d’Ingersheim à Colmar. Plan d’accès à la Maison des associations

Intervenant : Philippe Coat – Cabinet Coat, Thérapies brèves & Développement personnel (Colmar & Mulhouse).

Philippe Coat est hypnothérapeute, sophrologue et formateur. Il traite le stress et les cas de burn-out en cabinet et organisations, anime des stages de traitement du stress en Alsace.      

Programme de la conférence

1. Qu’est ce que le stress ?

Sa fonction, les mécanismes qui peuvent entrainer ou amplifier la maladie.

2. Pourquoi est-il important de traiter son stress ?

Le stress est impliqué dans l’apparition, le maintien ou l’amplification de très nombreux troubles psychiques et somatiques.

3. Quelles sont les sources profondes du stress ?

Pour être efficace, mieux vaut agir à la source du problème plutôt que de s’épuiser à tenter d’atténuer les symptômes.

4. Comment traiter efficacement le stress ?

Les disciplines dont l’efficacité sur le stress est avérée, des exemples des mécanismes par lesquels ces disciplines produisent leurs effets.

Association des fibromyalgiques d’Alsace

http://www.fibroalsace.org

Présidente : Mme Martine Gross

8, rue du château. 68740 NAMBSHEIM

Tél.: 03 89 48 57 22

SOPHROLOGIE AUX HOPITAUX CIVILS DE COLMAR

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Stress, difficultés relationnelles, fragilité émotionnelle, douleurs, manque de concentration… Relaxer votre corps et votre esprit ; découvrez une nouvelle présence.

Dans une atmosphère conviviale, hors de tous enjeux professionnels ou hiérarchiques, nous vous proposons de venir apprécier les bienfaits de la sophrologie à travers un programme de 10 séances gratuites.

Public

Le programme est ouvert aux infirmiers, aides-soignants, agents des services hospitaliers.

Modalités pratiques

  • Ces séances sont gratuites
  • L’inscription est indispensable.
  • Lieu : salle de sport – Centre nutritionnel. Bât. 3S – sous-sol.
  • Horaires : les jeudis, à 18h00. Attention, il important d’arriver à l’heure pour ne pas gêner les autres participants.
  • Durée des séances : 1h30 maximum.
  • Tenue : tenue décontractée. Les séances se pratiquent en chaussettes ou pieds nus.

Inscriptions et informations

  • L’inscription est indispensable auprès de Mme SALOMON – Pôle DIACORT : 03 89 12 48 35.
  • Le nombre de places est limité.
  • Pour toute question relative à la sophrologie, contactez Philippe COAT au 07 81 82 54 59.
  • Email : philippe.coat@contactoffice.fr
  • Site web : hypnose-sophrologie68colmar.com

Calendrier

Pour profiter à plein des bienfaits de ce programme qui comporte une progression de la première à la dernière séance, il est fortement recommandé de participer à l’ensemble des séances.

Les séances :

  • Jeudi 22 septembre
  • Jeudi 3 novembre
  • Jeudi 24 novembre
  • Jeudi 29 septembre
  • Jeudi 10 novembre
  • Jeudi 1er décembre
  • Jeudi 6 octobre
  • Jeudi 17 novembre
  • Jeudi 8 décembre
  • Jeudi 13 octobre

 

PERDRE DU POIDS AVEC L’HYPNOSE

 Atouts  de l’hypnose pour maigrir

  • En cas de besoin, et notamment après de nombreux échecs de régimes classiques, on pourra mener une exploration inconsciente des événements et mécanismes qui expliquent ou entretiennent la prise de poids.
  • Libérer les émotions limitantes issues des tentatives passées de perdre du poids.
  • Libérer les émotions liées aux expériences douloureuses de la vie et qui peuvent jouer un rôle important dans le comportement problématique.
  • Maximiser le niveau de motivation.
  • Retrouver un rapport harmonieux avec le corps et la nourriture.
  • Optimiser le fonctionnement du métabolisme.

Un programme d’amincissement faisant appel conjointement à l’hypnose, des techniques de libération émotionnelles et la PNL (Programmation Neuro Linguistique) constitue un moyen efficace pour maigrir, se libérer du surpoids et retrouver un rapport harmonieux avec le corps et la nourriture.

Par un travail de fond sur les mécanismes inconscients qui mène au surpoids, un tel traitement apporte surtout de bonnes chances d’obtenir enfin une perte de poids durable.

hypnose alsace Colmar maigrir perdre du poids

Avec l’hypnose, on pourra mener une exploration inconsciente des événements et mécanismes qui expliquent ou entretiennent la prise de poids.

Poids physique et émotions refoulées

Dans les premiers jours de sa vie, tout être humain ne fait que deux choses : dormir ou manger. Le plus souvent heureusement, le moment où l’enfant mange est rempli de douceur, d’affection et de tendresse. Par conséquent, nous avons tous inconsciemment associé le fait de manger à un instant générant du réconfort, de la chaleur humaine ou de l’amour. Même si ces instants ont été complètement oubliés depuis, l’association nourriture-confort reste présente chez un grand nombre d’entre nous. Qui ne s’est jamais offert un plat bien lourd ou un petit verre de vin pour se réconforter ou se calmer ?

 Une dissociation du corps et des sensations 

De ce fait, il y a un lien important et profond entre le poids physique et le poids des émotions bloquées. De manière générale, nos expériences douloureuses engendrent des conflits intérieurs ou des blocages qui, à leur tour, font naître des émotions telles que la tristesse, la peur, la culpabilité, la colère…. Ces émotions douloureuses peuvent être très difficiles à exprimer. Ainsi, nous les refoulons à l’intérieur de notre corps pour préserver notre esprit et éviter qu’il ne soit submergé par ces émotions dont il ne sait que faire. Malheureusement, l’énergie des émotions refoulées ne se calme pas pour autant et commence à s’exprimer à travers toutes sortes de comportements impulsifs ou incontrôlables. Tout ce qui ne s’exprime pas, se manifeste dans le corps.

Les personnes souffrant d’un surpoids sont mal dans leur corps, ce qui les conduit à se dissocier de ce corps et des sensations ou émotions qui peuvent se manifester à travers ce dernier.

 Libérer les émotions issues des échecs passés

Hypnose maigrir perdre du poids Colmar Alsace

Avec l’hypnose, il est possible de maigrir naturellement et durablement.

Les rapports conflictuels qu’entretient une personne en surpoids avec son corps et la nourriture augmentent encore la difficulté à perdre du poids… En effet, de tels rapports conflictuels engendrent des émotions douloureuses telles que la culpabilité, la colère, le dégout ou le désespoir. Un travail de « nettoyage » émotionnel peut être réalisé sur plusieurs séances. Par exemple, il est possible de dédier une séance au travail aux émotions en lien avec le corps, le fait d’habiter ce corps et les moyens de développer de nouveaux rapports avec ce corps. Une séance suivante peut être dédiée aux rapports avec la nourriture.

Modifier la représentation de la nourriture

Inséparable du travail sur les émotions, la modification de la perception intérieure du corps et de la nourriture fait partie du processus qui permettra à la personne de réinvestir son corps et les moyens de le nourrir d’une façon saine sur le long terme. Une des raisons pour lesquelles les régimes classiques échouent trop souvent réside peut-être dans le fait qu’un rapport conflictuel est installé entre soi et la nourriture et entre soi et le corps. La nourriture doit être davantage considérée comme une source de vie qui, avec l’oxygène, apporte à des milliards de cellules fragiles et précieuses l’énergie dont elles ont besoin pour se régénérer et vivre dans la santé. Pour maigrir, le patient doit retrouver le désir de prendre soin de son corps dans un contexte de paix, de respect et d’harmonie.

hypnose colmar alsace perte de poids métabolisme

Le stress et les émotions bloquantes ont pour effet de ralentir l’activité du tube digestif. En apportant le calme et en préparant le corps à manger, l’hypnose va favoriser le processus de « combustion » de la nourriture.

Optimiser le fonctionnement du métabolisme

L’une des caractéristiques de la transe hypnotique est de permettre une communication corps-esprit plus directe, plus intense et plus profonde. Les tensions et autres conflits intérieurs liés à un problème de surpoids peuvent engendrer des blocages à différents niveaux du corps. Pour exemple, le stress et les émotions bloquantes ont pour effet de ralentir, voire de bloquer l’activité du tube digestif. De ce fait, le ralentissement du transit global a pour effet d’augmenter les risques de production de masse graisseuse. Les techniques d’autohypnose apprises au patient lui permettront de favoriser le bon fonctionnement de son métabolisme : avant le repas, pour préparer le corps à manger, après le repas, de façon à favoriser la digestion et le processus de « combustion » de la nourriture.

hypnothérapeute - hypnose - Colmar - Mulhouse - Sélestat - Haut Rhin - Maigrir - confiance en soi - mieux dormir - arrêter le tabac - relaxation - dépression - angoisse - stressDes questions ? N’hésitez pas à m’appeler au  07 81 82 54 59.

Philippe Coat, Maître praticien en hypnose thérapeutique à Colmar (prox. Mulhouse et Sélestat)

ARRÊTER DE FUMER AVEC L’HYPNOSE: COMBIEN DE SEANCES FAUT-IL ?

Découvrez la vidéo : « Arrêter de fumer avec l’hypnose »

Les dangers des traitements trop courts

Il est parfois possible d’arrêter de fumer en 1 ou 2 séances d’hypnothérapie. C’est vrai. Mais en matière de thérapie, de l’impatience à l’imprudence, il n’y a qu’un pas. Les résultats d’un traitement très court ne sont qu’apparents. En effet :

  • Il convient bien entendu de maximiser vos chances de réussite. Or les études montre un taux de succès maximum – soit 67% de réussite – avec 5 séances.
  • Pourquoi devrait-on se limiter à 1 ou 2 séances alors que dans ce cas le taux de réussite moyen ne sera que de 17% à 30 % selon les études ?
  • Le traitement doit permettre au patient de trouver – dans le confort – une nouvelle façon de générer le bénéfice que lui apportait la cigarette (libération d’une tension, retour sur soi, moment de convivialité…). Pas d’ignorer brutalement ce bénéfice sans quoi il y a danger !

Le risque de voir apparaître des symptômes de substitution

Si le traitement ne comporte aucune exploration des éventuels conflits sous-jacents et de l’écologie du tabagisme, le danger est grand de voir apparaître d’autres symptômes tout aussi pénalisants pour le patient : anxiété, boulimie, alcool, agressivité… Un bon traitement ne saurait donc être réalisé en 1 ou 2 séances.

Tout symptôme mobilise de l’énergie. Libéré de son tabagisme, le patient va donc connaître progressivement un regain d’énergie. Il convient de déterminer avec lui comment il va exploiter cette énergie.

Le tabagisme a un sens, il apporte un bénéfice au fumeur : le calme pour certains, un retour à soi pour d’autres, un moment de convivialité… Il faut donc identifier le moyen par lequel le patient va  trouver le même bénéfice mais sans les inconvénients du tabagisme.

Dans le cas contraire, l’arrêt du tabac risque fort de générer une anxiété prononcée qui pourrait bien entraîner… une reprise de la cigarette ou l’apparition de nouveaux comportements néfastes : agressivité à l’égard de l’entourage, prise de poids, état dépressif…

En conclusion, un traitement sérieux – qui amènera un arrêt durable du tabagisme et sans symptôme de substitution – devra comporter environ 5 séances.

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CABINET COAT    29 rue de la corneille, 68000 Colmar – Haut-Rhin.

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Thérapies brèves,

Développement personnel & existentiel,

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  • Thérapie Intégrative Avancée (A.I.T.),
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  • Techniques de libération émotionnelle (E.F.T. clinique),
  • Hypnose thérapeutique,
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ARRETER DE FUMER AVEC L’HYPNOSE

Les bénéfices de l’hypnose pour l’arrêt du tabac

  • Les programmes de traitement par l’hypnose comportant 4 à 5 séances obtiennent les meilleurs taux de succès (environ 67 %),
  • Ces séances sont nécessaires pour obtenir un arrêt définitif et éviter l’apparition de symptômes de substitution : prise de poids, anxiété, alcool, agressivité…
  • Ces résultats sont obtenus grâce à un travail de fond comportant notamment :
    • le traitement des éventuelles émotions bloquantes à l’idée d’arrêter de fumer (par hypnose ou EFT).
    • l’apprentissage de techniques de gestion immédiate des envies irrésistibles.
    • la reprogrammation du schéma neurologique entretenant l’habitude néfaste.

Pour arrêter de fumer définitivement, il faut mobiliser l’inconscient

Découvrez la vidéo : « Arrêter de fumer avec l’hypnose »

10, 30, 50 cigarettes… 1 an ou 20 ans de consommation…. ? Les résultats ne dépendent pas de ces chiffres. Dans tous les cas, vous pouvez arrêter de fumer.

Vous avez peut-être entendu des personnes de votre entourage expliquer qu’elles ressentent encore parfois l’envie d’une cigarette au moment du café, alors qu’elles ont arrêté de fumer il y a 20 ans ! Pour vous qui souhaitez vous libérer du tabac, cela peut paraître désespérant.

En réalité, cela indique que ces personnes ont arrêté de fumer seulement au niveau conscient. Leur abstinence est soutenue uniquement par leur volonté.

Il existe de nombreuses façons de mener un sevrage tabagique : le Champix, des patchs, des comprimés, des inhalateurs, des gommes à mâcher…

Mais pour arrêter de fumer aisément et définitivement, il faut prendre en compte cet élément essentiel : l’esprit inconscient.

Les résultats de l’hypnose pour arrêter de fumer

Le tabagisme et les autres types de dépendances figurent parmi les problèmes les plus difficiles que traitent les professionnels de santé. Les diverses études et la littérature consacrées à l’arrêt du tabac révèle un taux moyen de réussite d’environ 25 % avec un suivi de 6 à 12 mois.

Les méthodes pour arrêter le tabac qui traitent le tabagisme comme une dépendance physique à la nicotine (patches, gomme à mâcher, etc.) ont un faible taux de réussite (environ 23%). Et leurs effets secondaires sont assez importants : nausées, maux de tête, vomissements, flatulences, insomnie, changements dans la perception du goût.

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Philippe Coat, praticien en Thérapie intégrative, hypnothérapeute, sophrologue

Le Champix montre un taux de réussite de 22 % et les effets secondaires sont assez importants : nausées, maux de tête, vomissements, flatulences, insomnie, rêves anormaux et changements dans la perception du goût.

Les fabricants du Ziban affirment qu’il n’est efficace que si la prise est conjointe à une « intervention psychologique”.

Seul, pour mettre fin à la dépendance, le fumeur doit avoir un équilibre psychologique stable et il doit mobiliser toute la force de sa volonté.

Les études consacrées aux résultats du sevrage tabagique par l’hypnose ont permis de révéler le constat suivant :

  • Les programmes de traitement hypnotique comportant 4 à 5 séances offrent des taux de succès de 67%.
  • Les sevrages faisant appel à une seule séance donnent un taux de réussite allant, selon les études, de 17% à 30%.

La méthode d’arrêt du tabac par l’hypnose  va traiter le problème à sa source : vous libérer de l’anxiété qui fait le lit de cette addiction. L’envie de fumer va alors s’estomper pour disparaître totalement. Arrêter de fumer n’est dès lors plus une question de volonté. J’arrête parce que je n’en ressens plus le besoin !

Pour obtenir des résultats effectifs et durables,  il est préférable de consulter un hypnothérapeute certifié, bien formé pour vous aider à surmonter votre dépendance à la cigarette.

Coup social tabac

Vais-je arrêter de fumer immédiatement ?

Il n’est aucunement indispensable d’arrêter de fumer totalement dès la première séance. A mesure que vous avancez dans le programme de sevrage tabagique par l’hypnose, votre inconscient intègre de nouveaux conditionnements. Vous arrêtez naturellement lorsque le bon moment vous semble venu, lorsque vous ne voulez vraiment plus fumer. Vous n’avez donc pas besoin de mobiliser une volonté hors du commun pour briser cette dépendance au tabac.

Les facteurs clefs de succès pour obtenir un arrêt définitif du tabac

Chaque fumeur est un cas unique. L’histoire de sa relation et de sa dépendance au tabac est unique. Le succès d’un programme de sevrage dépend largement de l’attention qui aura été portée par le thérapeute à la compréhension de son patient, de ses conditions de vie, de l’origine et de l’évolution de son habitude néfaste. Pas de programme standard ! L’efficacité suppose le sur-mesure.

Arrêter de fumer, c’est bien. Mais encore faut-il arrêter définitivement. Il faut aussi que le traitement permette d’éviter l’apparition de symptômes de substitution : prise de poids, agressivité à l’égard de l’entourage, alcool… Pour cela, il faut un programme thérapeutique comprenant des interventions tant au niveau conscient qu’inconscient et un suivi du patient pendant une période longue.

L’imprudence des traitements trop courts

Il est parfois possible d’arrêter de fumer en 1 ou 2 séances. C’est vrai. Mais en matière de thérapie, de l’impatience à l’imprudence, il n’y a qu’un pas. En effet :

  • Les études montre un taux de succès maximum avec 5 séances (67%).
  • Si le traitement ne comporte aucune action sérieuse sur l’origine du tabagisme, sa disparition peut céder la place à d’autres symptômes tout aussi pénalisants pour le patient : anxiété, boulimie, alcool, agressivité… Il s’agit de permettre au patient de trouver – dans le confort – une nouvelle façon de générer le bénéfice que lui apportait la cigarette. Pas d’ignorer ce bénéfice !
  • Tout symptôme mobilise de l’énergie. Libéré de son tabagisme, le patient va donc connaître progressivement un regain d’énergie. Il faut déterminer avec l’ancien fumeur comment il va exploiter cette énergie sans quoi elle risque fort de générer de l’anxiété.

Le programme du cabinet Philippe Coat

Le programme mis au point par le Cabinet d’Hypnose Thérapeutique Philippe Coat s’adapte aux spécificités du patient. ISelon les besoins, il mobilise des techniques relevant de l’hypnose  classique, de l’hypnose ericksonienne, de la PNL (Programmation Neuro linguistique) et ou encore de l’EFT (Emotionnal Freedom Techniques). II comprend des interventions tant au niveau conscient qu’inconscient afin de permettre un arrêt définitif du tabac et un arrêt du tabac sans apparition de symptôme de substitution (prise de poids, agressivité…).

  •  Analyse de la structure du problème
    • Origine de la dépendance et paramètres psychologiques ayant contribué à son renforcement.
    • Identification des ressources existantes et des ressources à acquérir en vue de la libération.
    • Identification des croyances négatives qui renforcent la dépendance.
    • Identification des bénéfices de l’habitude néfaste.
    • Analyse détaillée des comportements.
  • Définition de la stratégie d’intervention
    • Augmentation du niveau de motivation et projection dans un futur sans dépendance.
    • Traitement éventuel des traumatismes pouvant être liés à la dépendance ou émotions bloquantes à l’idée d’arrêter de fumer (par hypnose ou EFT).
    • Reprogrammation du schéma neurologique entretenant l’habitude néfaste.
    • Apprentissage de techniques de gestion immédiate des envies irrésistibles.
    • Renforcement des ressources internes nécessaires au succès.
    • Suivi du patient pendant 12 mois.

Un accompagnement assuré pendant 12 mois

Pour atteindre le meilleur taux de succès et assurer un arrêt définitif du tabagisme – sans symptôme de substitution – le programme du cabinet d’Hypnose Thérapeutique Philippe Coat comprend 5 séances.

Si vous avez encore besoin d’aide, que ce soit après trois jours ou après trois mois, il vous suffit de prendre un rendez-vous. Vous pouvez profiter d’une séance supplémentaire et gratuite, pendant une période de 12 mois après la première séance.

Des questions ? N’hésitez pas à nous appeler au  07 81 82 54 59

CABINET COAT / Psychothérapie brève, Hypnose, Développement personnel 

  • Strasbourg/Ostwald : 21 allée nautilus – 67540 Ostwald
  • Colmar : 29 rue de la corneille, 68000 Colmar.

Philippe et Natalia Coat

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PROBLEMES SEXUELS, COUPLE ET HYPNOSE

Problèmes sexuels traités par l’hypnose

  • Inhibition du désir sexuel (manque d’intérêt pour la sexualité, manque de plaisir),
  • Difficulté à parvenir à l’excitation sexuelle et à la lubrification,
  • Dysfonction érectile (érection insuffisante ou peu durable, impuissance),
  • Dysfonction éjaculatoire (éjaculation précoce, retard d’éjaculation ou absence d’éjaculation),
  • Vaginisme (contraction musculaire prolongée des muscles qui entourent l’ouverture du vagin et qui interdit toute pénétration vaginale),
  • Anorgasmie (difficulté à l’orgasme ou absence d’orgasme),
  • Addictions sexuelles.

Bénéfices de l’hypnose pour les problèmes sexuels

  • Réduire le stress et préparer l’engagement sexuel.
  • Redonner confiance.
  • Favoriser le plaisir.
  • Mener une exploration inconsciente permettant d’identifier les événements du passé ou mécanismes qui entretiennent les problèmes rencontrés.

Réduire le stress et préparer l’engagement sexuel

La fatigue, la tension physique et mentale peuvent inhiber l’appétit et les performances sexuelles. Certains patients ont aussi besoin d’une méthode pour créer une coupure mentale avec leur activité précédente, une journée de travail intense par exemple. La pratique de l’autohypnose peut être alors d’une grande utilité : elle permettra de rompre nettement avec les préoccupations quotidiennes, d’apporter le calme requis et de revenir au corps et aux sensations. Elle peut être également mise à contribution pour éveiller le désir grâce à l’imagerie sexuelle.

Redonner confiance

Certains patients sont si découragés qu’ils ne se croient plus capables d’éprouver du désir ou du plaisir et encore moins d’en procurer à un partenaire. Les phénomènes hypnotiques qu’ils pourront expérimentés en cabinet peuvent les convaincre qu’ils ont en eux des potentiels insoupçonnés et que leur esprit est assez puissant pour éveiller le désir, susciter une érection ou conduire à l’orgasme.

Favoriser le plaisir

L’hypnose et l’autohypnose aident à développer l’aptitude du patient à focaliser son attention et intensifier ses perceptions sensorielles. Résultat : une facilitation de l’excitation et du plaisir.

L’hypnose offre aussi une large palette de techniques pour modifier des émotions problématiques et favoriser les émotions souhaitées. Des méthodes de régression vers le passé offrent, par exemple, la possibilité de faire revivre des sentiments positifs d’ordre sexuels ou affectif et, progressivement de réinstaller l’état interne agréable que le temps ou les expériences négatives avaient fini par reléguer dans les combles.

Certaines techniques s’intéressent aux deux partenaires simultanément : on peut ainsi utiliser des techniques de projection dans le futur pour inviter un couple à partager une expérience sexuelle pleinement satisfaisante.

Le plus souvent, il est souhaitable d’associer le partenaire. Il peut être présent au moment de l’évaluation. Afin d’entretenir son implication et sa contribution à la thérapie, il sera invité à participer à une séance périodique avec le couple organisée à intervalle régulier.

Identifier les mécanismes qui entretiennent le problème

L’hypnose apporte des techniques d’exploration qui peuvent être précieuses en sexothérapie. Il est ainsi plus aisé d’identifier des conflits sous-jacents, des sentiments non résolus vis-à-vis d’événements anciens ou encore de mettre en lumière des mécanismes inaccessibles à la perception consciente.

Par exemple, dans certains cas, les dysfonctions sexuelles constituent une forme de solution à un conflit psychologique. Ainsi un trouble sexuel peut avoir pour fonction d’exprimer de la colère envers un partenaire lorsque la verbalisation ou le pardon n’a pas été possible. Le problème sexuel peut encore faire office d’auto-flagellation pour un comportement « immoral » que la personne aurait eu dans le passé. Toutes choses dont le patient n’a vraisemblablement pas conscience.

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Portrait Philippe

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HYPNOSE VIDEO 1 : qu’est-ce que je vais ressentir ?

Vignette HYPNOSE Q1 Qu'est ce que je vais ressentir

Pour être informé des mises en ligne des prochaines vidéos de la série, cliquez sur le bouton bleu « Suivre Hypnose Alsace« .

Picto Lancer la vidéoVoici le premier volet d’une série de 20 vidéos regroupées sous le nom « L’hypnose en 20 questions ». Il a pour titre : « Qu’est-ce que je vais ressentir dans l’état hypnotique ? »

La vocation de cette série est d’apporter des réponses concises aux principales questions que l’on se pose au sujet de cette forme de thérapie.

Les vidéos déjà disponibles et à venir:
1. Qu’est-ce que je vais ressentir dans l’état hypnotique ?
2. À quoi tient l’efficacité de l’hypnothérapie ?
3. Quel sera l’effet de l’état hypnotique sur mon corps ?
4. Suis-je hypnotisable ?
5. Faut-il que j’y crois pour que ça marche ?
6. Est-ce que je vais perdre le contrôle ?
7. Quels types de problèmes peut-on traiter avec l’hypnose ?
8. L’état hypnotique est-il comparable au sommeil ou à la méditation ?
9. Combien de séances me faudra-t-il ?
10. Comment choisir un Hypnothérapeute ?
11. Pourrai-je prendre le volant après une séance d’hypnose ?
12. Est-ce que je dois tout révéler à mon thérapeute ?
13. Est-ce que je serai perturbée par mon hypnothérapie ?
14. Faut-il que je donne un objectif précis à mon hypnothérapie ?
15. La prise de médicaments est-elle compatible avec une hypnothérapie ?
16. L’hypnose peut-elle être dangereuse ?
17. L’hypnothérapie a-t-elle quelque chose à voir avec la psychothérapie ?
18. Mon symptôme a-t-il une signification ?
19. Peut-on aider quelqu’un qui est réticent à se soigner ?
20. Y a-t-il un parcours type dans une hypnothérapie ?

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